Algérie - A la une

L'opposition impuissante



La crise que traverse l'Assemblée populairenationale (APN) depuis dessemaines maintenant a révéléau grand jour l'impuissancede l'opposition.La crise que traverse l'Assemblée populairenationale (APN) depuis dessemaines maintenant a révéléau grand jour l'impuissancede l'opposition.
En effet les groupes parlementaires de l'opposition ; très loin de pouvoirpeser sur le cours des événements, sesont surtout contentés de jouer le rôle de spectateur. Tous les groupes parlementairesde l'opposition se sont murésderrièredes déclarations et des positions tendantàfaire accroîre que ce qui se passedans cette chambre du Parlement est unequestion qui ne les concerne pas.
Acroirequ'ils se sont donné le mot pourcamper,dans cette position.Réduit à un rôle defigurant, au moment même ou les groupesparlementaires de lamajorité se sont acharnés contre leprésidentde l'Assemblée, Saïd Bouhadja, en poussant l'outrecuidance jusqu'à déclarerque le poste de président est vacant,l'opposition s'est surtout distinguée par des de ses dirigeants condamnantl'actionentreprise en dehors de tout cadrelégal. "C'est une honte" a clamé,àmaintes reprises, le président du MSP, Abderazak Makri.
"La persistance de la crise de l'APN n'est qu'un symptôme parmi les symptômes d'une maladie chronique et profonde qui a atteint l'EtatAlgérie" a aussi écrit le chef de file duMSP. Selon lui cette crise trouve son explication "dans le conflit entre les clans du pouvoir sur le contrôle du pouvoir et larépartition de la rente". Et de reprocher auxdeux parties en conflit de "ne pas se soucierde la notoriété de l'Algérie". Le RCD,, à quelques nuances près, s'est lui aussi inscrit dans le registre de la lutte des clanspour expliquer ce qui se passe à l'APN.Pour le RCD cette action des députés de lamajorité parlementaire, notamment ceuxaffiliés au FNL et RND "cache mal lesvisées et calculs au sommet de l'Etat.C'est un précédent grave. Il aura des répercussions dangereuses sur le fonctionnementde toutes les assemblées élues.
Le blocage seradésormais la norme". "L'instabilité, et à tous les niveaux d'ailleurs,incombe en premier lieu au chef de l'Etat et à son Premier ministre en leurqualité respectivement de président du FLN et de SG du RND dont les députésont été instrumentalisés dans cettecabale",lit-on encore dans une déclaration de ce parti. Le Parti des travailleurs est resté lui aussi dans l'expectative dans cette crisede l'APN.
Il y a juste quelques jours Louisa Hanoune a rompu le silence pour direqu'il "y a un risque que cette crise ait des prolongements inattendus pouvant donner lieu à des convulsions dangereuses".Car pour elle cette crise ajoute encore plus d'opacité au paysage politique et c'est l'occasion pour son partid'intensifier, ditelle, "sa campagne pour l'électiond'une Assemblée constituante comme une issue à la crise mortelle que traverse l'Algérie etpour le changement du système". Le plus vieux parti d'opposition, le FFS, a estimé, de son côté, que "l'impasse danslaquelle se trouve l'APN n'est que le reflet de la grave crise que traverse le système".
En effet les groupes parlementaires de l'opposition ; très loin de pouvoirpeser sur le cours des événements, sesont surtout contentés de jouer le rôle de spectateur. Tous les groupes parlementairesde l'opposition se sont murésderrièredes déclarations et des positions tendantàfaire accroîre que ce qui se passedans cette chambre du Parlement est unequestion qui ne les concerne pas.
Acroirequ'ils se sont donné le mot pourcamper,dans cette position.Réduit à un rôle defigurant, au moment même ou les groupesparlementaires de lamajorité se sont acharnés contre leprésidentde l'Assemblée, Saïd Bouhadja, en poussant l'outrecuidance jusqu'à déclarerque le poste de président est vacant,l'opposition s'est surtout distinguée par des de ses dirigeants condamnantl'actionentreprise en dehors de tout cadrelégal. "C'est une honte" a clamé,àmaintes reprises, le président du MSP, Abderazak Makri.
"La persistance de la crise de l'APN n'est qu'un symptôme parmi les symptômes d'une maladie chronique et profonde qui a atteint l'EtatAlgérie" a aussi écrit le chef de file duMSP. Selon lui cette crise trouve son explication "dans le conflit entre les clans du pouvoir sur le contrôle du pouvoir et larépartition de la rente". Et de reprocher auxdeux parties en conflit de "ne pas se soucierde la notoriété de l'Algérie". Le RCD,, à quelques nuances près, s'est lui aussi inscrit dans le registre de la lutte des clanspour expliquer ce qui se passe à l'APN.Pour le RCD cette action des députés de lamajorité parlementaire, notamment ceuxaffiliés au FNL et RND "cache mal lesvisées et calculs au sommet de l'Etat.C'est un précédent grave. Il aura des répercussions dangereuses sur le fonctionnementde toutes les assemblées élues.
Le blocage seradésormais la norme". "L'instabilité, et à tous les niveaux d'ailleurs,incombe en premier lieu au chef de l'Etat et à son Premier ministre en leurqualité respectivement de président du FLN et de SG du RND dont les députésont été instrumentalisés dans cettecabale",lit-on encore dans une déclaration de ce parti. Le Parti des travailleurs est resté lui aussi dans l'expectative dans cette crisede l'APN.
Il y a juste quelques jours Louisa Hanoune a rompu le silence pour direqu'il "y a un risque que cette crise ait des prolongements inattendus pouvant donner lieu à des convulsions dangereuses".Car pour elle cette crise ajoute encore plus d'opacité au paysage politique et c'est l'occasion pour son partid'intensifier, ditelle, "sa campagne pour l'électiond'une Assemblée constituante comme une issue à la crise mortelle que traverse l'Algérie etpour le changement du système". Le plus vieux parti d'opposition, le FFS, a estimé, de son côté, que "l'impasse danslaquelle se trouve l'APN n'est que le reflet de la grave crise que traverse le système".
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