Algérie

L'opposition appelle à l'instauration d'un système parlementaire Koweït



L'opposition appelle à l'instauration d'un système parlementaire                                    Koweït
L'opposition koweïtienne a souligné, mardi dans un communiqué commun, la nécessité d'instaurer un système multipartite et un gouvernement élu pour sortir l'Emirat de ses crises politiques.
Dans le texte publié tard lundi, les opposants ont également appelé à une réforme de la justice et une lutte contre la corruption, en qualifiant la crise ouverte par l'invalidation du Parlement élu en février de la "pire de l'histoire moderne du Koweït".
Le communiqué a été signé par 35 des 50 membres du Parlement invalidé par la Cour constitutionnelle pour vice de forme dans les décrets organisant le scrutin.
L'opposition avait déjà appelé le 21 juin à l'instauration d'un système parlementaire, au lendemain d'une décision de la Cour constitutionnelle, et début juillet, la mouvance libérale avait demandé des réformes de fond, dont la légalisation des partis politiques.
La nouvelle crise a poussé le gouvernement à démissionner le 25 juin.Le Premier ministre sortant, cheikh Jaber Moubarak Al-Sabah, a été chargé de former un nouveau gouvernement qui devrait proposer à l'émir, cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, la tenue d'élections anticipées.
L'opposition koweïtienne a souligné, mardi dans un communiqué commun, la nécessité d'instaurer un système multipartite et un gouvernement élu pour sortir l'Emirat de ses crises politiques.
Dans le texte publié tard lundi, les opposants ont également appelé à une réforme de la justice et une lutte contre la corruption, en qualifiant la crise ouverte par l'invalidation du Parlement élu en février de la "pire de l'histoire moderne du Koweït".
Le communiqué a été signé par 35 des 50 membres du Parlement invalidé par la Cour constitutionnelle pour vice de forme dans les décrets organisant le scrutin.
L'opposition avait déjà appelé le 21 juin à l'instauration d'un système parlementaire, au lendemain d'une décision de la Cour constitutionnelle, et début juillet, la mouvance libérale avait demandé des réformes de fond, dont la légalisation des partis politiques.
La nouvelle crise a poussé le gouvernement à démissionner le 25 juin.Le Premier ministre sortant, cheikh Jaber Moubarak Al-Sabah, a été chargé de former un nouveau gouvernement qui devrait proposer à l'émir, cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, la tenue d'élections anticipées.
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