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L'étau se resserre aux frontières


L'étau se resserre aux frontières
Ces dernières semaines, les coups de filet contre la contrebande et le trafic de carburant ont mis hors état de nuire des centaines de personnes. Les forces de sécurité gagnent une bataille contre la puissante nébuleuse des trafiquants en tous genres.Ces dernières semaines, les coups de filet contre la contrebande et le trafic de carburant ont mis hors état de nuire des centaines de personnes. Les forces de sécurité gagnent une bataille contre la puissante nébuleuse des trafiquants en tous genres.Les différents bilans montrent que le trafic de drogue, le transport illicite de carburants et celui des armes accusent un coup de baisse notoire. La saisie de quantités impressionnantes de cannabis et de kif traité ainsi que l'arrestation de plusieurs personnes faisant partie de gangs et groupes plus au moins organisés met les forces de sécurité dans une bataille qu'ils gagnent aisément.Au niveau des frontières, l'étau se resserre de plus en plus sur ces groupes qui cherchent à redoubler de férocité à travers leurs multiples incursions. Selon une source du ministère de l'Intérieur, les groupes terroristes se situant entre 2.000 et 3.000 individus tentent de se redéployer par le biais du narco-trafic.Les bilans partiels de la Gendarmerie nationale indiquent que « les grandes quantités de cannabis sont souvent récupérées dans les régions frontalières avec le Maroc qui est un des principaux producteurs de cette drogue dans le monde avec une production de près de 100.000 tonnes/an ». D'autres quantités sont également saisies au niveau de la frontière de l'extrême-Sud où particulièrement les unités des GGF, de l'ANP et de la gendarmerie se redéploient actuellement. Ces derniers temps, les narco-trafiquants n'ont pas pu infiltrer la frontière dans l'immense désert de Tanezrouft.Les patrouilles des unités sécuritaires et leur dissémination tout au long de la bande des frontières maliennes et nigériennes a repoussé les groupes de trafiquants dans leur dernier retranchement en leur faisant subir de grosses pertes. Leur échec s'explique par les coups de filets des services de sécurité qui ont pu arrêter plusieurs personnes dont quelques-uns sont de nationalités malienne, nigérienne et tchadienne.Pour le trafic du carburant, il faut signaler que depuis 9 mois, plus de 600.000 litres de gas-oil ont été saisis et a permis aux services de sécurité de bien connaitre les réseaux et leurs parcours dans l'erg oriental. Si la frontière Ouest reste impénétrable, les contrebandiers tentent, en effet, de recréer leurs réseaux à l'extrême-Sud et au Sud-Ouest. Il est indiqué que face aux troubles que vivent certains pays du Sahel, « les narcotrafiquants tentent de faire transiter leurs marchandises coûte que coûte par l'Algérie vers le Moyen-Orient et l'Europe, quitte à faire usage d'armes lourdes face aux services de sécurité algériens qui les interceptent ».Leurs forces sont en déroute face à l'efficacité du renseignement et la mise en place d'outils modernes de détection et de télésurveillance. Du coup, les groupes contrebandiers et narco-trafiquants s'essayent à de nouveaux procédés comme le grain de cannabis qu'ils tentent de faire passer et les armes légères. Cette façon d'opérer ne marche plus selon les témoignages de plusieurs responsables sécuritaires qui mettent actuellement une stratégie revue et corrigée pour traquer les groupes criminels où qu'ils soient.Les différents bilans montrent que le trafic de drogue, le transport illicite de carburants et celui des armes accusent un coup de baisse notoire. La saisie de quantités impressionnantes de cannabis et de kif traité ainsi que l'arrestation de plusieurs personnes faisant partie de gangs et groupes plus au moins organisés met les forces de sécurité dans une bataille qu'ils gagnent aisément.Au niveau des frontières, l'étau se resserre de plus en plus sur ces groupes qui cherchent à redoubler de férocité à travers leurs multiples incursions. Selon une source du ministère de l'Intérieur, les groupes terroristes se situant entre 2.000 et 3.000 individus tentent de se redéployer par le biais du narco-trafic.Les bilans partiels de la Gendarmerie nationale indiquent que « les grandes quantités de cannabis sont souvent récupérées dans les régions frontalières avec le Maroc qui est un des principaux producteurs de cette drogue dans le monde avec une production de près de 100.000 tonnes/an ». D'autres quantités sont également saisies au niveau de la frontière de l'extrême-Sud où particulièrement les unités des GGF, de l'ANP et de la gendarmerie se redéploient actuellement. Ces derniers temps, les narco-trafiquants n'ont pas pu infiltrer la frontière dans l'immense désert de Tanezrouft.Les patrouilles des unités sécuritaires et leur dissémination tout au long de la bande des frontières maliennes et nigériennes a repoussé les groupes de trafiquants dans leur dernier retranchement en leur faisant subir de grosses pertes. Leur échec s'explique par les coups de filets des services de sécurité qui ont pu arrêter plusieurs personnes dont quelques-uns sont de nationalités malienne, nigérienne et tchadienne.Pour le trafic du carburant, il faut signaler que depuis 9 mois, plus de 600.000 litres de gas-oil ont été saisis et a permis aux services de sécurité de bien connaitre les réseaux et leurs parcours dans l'erg oriental. Si la frontière Ouest reste impénétrable, les contrebandiers tentent, en effet, de recréer leurs réseaux à l'extrême-Sud et au Sud-Ouest. Il est indiqué que face aux troubles que vivent certains pays du Sahel, « les narcotrafiquants tentent de faire transiter leurs marchandises coûte que coûte par l'Algérie vers le Moyen-Orient et l'Europe, quitte à faire usage d'armes lourdes face aux services de sécurité algériens qui les interceptent ».Leurs forces sont en déroute face à l'efficacité du renseignement et la mise en place d'outils modernes de détection et de télésurveillance. Du coup, les groupes contrebandiers et narco-trafiquants s'essayent à de nouveaux procédés comme le grain de cannabis qu'ils tentent de faire passer et les armes légères. Cette façon d'opérer ne marche plus selon les témoignages de plusieurs responsables sécuritaires qui mettent actuellement une stratégie revue et corrigée pour traquer les groupes criminels où qu'ils soient.




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