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L'Etat à la rescousse



Le Premier ministre, Nourredine Bedoui, a institué hier une commission spéciale, pour sauver les entreprises de la faillite et préserver les emplois. Un plan de redressement de la situation est décrété dans l'urgence, dans le contexte actuel du marasme économique et social.Le Premier ministre, Nourredine Bedoui, a institué hier une commission spéciale, pour sauver les entreprises de la faillite et préserver les emplois. Un plan de redressement de la situation est décrété dans l'urgence, dans le contexte actuel du marasme économique et social.
Cette commission, selon un communiqué du gouvernement, est composée des ministères des Finances, de l?Industrie, du Commerce, des Ressources en eaux et des Travaux publics. Elle aura pour mission de "poursuivre les activités des entreprises, qu?elles soient nationales ou étrangères".
Le Premier ministre a, selon le communiqué, exhorté les membres du gouvernement à "préserver l?emploi et l?outil de production nationale"d?une éventuelle crise qui a misl?économie nationale dans le rouge.Le ministre des Finances et la Banqued?Algérie ont pour instruction, "de payer les retards des commandes publiques et detous les projets qui sont en cours d?exécution".Cela concerne à l?évidence le secteur du BTPH et de l?Industrie, qui ont étéles plus touchés par le retard des paiements qui dure pour certains, depuis desmois. Un rapport émanant de la CGEA avait, rappelle-t-on, alerté les autorités sur la menace de fermeture de prés de 350.000 entreprises et la perte de milliers de postes de travail, si des solutions urgentes ne seraient pas prises dans les plus brefs délais. Dans ce contexte particulier, le Premier ministre a instruit ces ministres pour trouver une formule juridique appropriée pour sauver les entreprises dont les propriétaires sont concernés par les délits de corruption.
On pense notamment, à certains groupes comme ceux de Haddad, et Kouninef qui sont menacés de faillite certaine. Le gouvernement souhaite garder ces grands groupes et ne pas les laisser périr, et cela après avoir constaté les inquiétudes des travailleurs sur leur sort et le flou sur leur situation. Il est également question de suivre au cas par cas, toutes les entreprises qui ont des difficultés, sachant l?impact sur les prestations de service public qui connaissent des blocages actuellement. La décision serait de promouvoir un dialogue de proximité avec les employeurs et les partenaires sociaux, afin d?identifier les causes de ces difficultés et de libérer les secteurs névralgiques, du marasme qui menace leur maintien.
Cette commission, selon un communiqué du gouvernement, est composée des ministères des Finances, de l?Industrie, du Commerce, des Ressources en eaux et des Travaux publics. Elle aura pour mission de "poursuivre les activités des entreprises, qu?elles soient nationales ou étrangères".
Le Premier ministre a, selon le communiqué, exhorté les membres du gouvernement à "préserver l?emploi et l?outil de production nationale"d?une éventuelle crise qui a misl?économie nationale dans le rouge.Le ministre des Finances et la Banqued?Algérie ont pour instruction, "de payer les retards des commandes publiques et detous les projets qui sont en cours d?exécution".Cela concerne à l?évidence le secteur du BTPH et de l?Industrie, qui ont étéles plus touchés par le retard des paiements qui dure pour certains, depuis desmois. Un rapport émanant de la CGEA avait, rappelle-t-on, alerté les autorités sur la menace de fermeture de prés de 350.000 entreprises et la perte de milliers de postes de travail, si des solutions urgentes ne seraient pas prises dans les plus brefs délais. Dans ce contexte particulier, le Premier ministre a instruit ces ministres pour trouver une formule juridique appropriée pour sauver les entreprises dont les propriétaires sont concernés par les délits de corruption.
On pense notamment, à certains groupes comme ceux de Haddad, et Kouninef qui sont menacés de faillite certaine. Le gouvernement souhaite garder ces grands groupes et ne pas les laisser périr, et cela après avoir constaté les inquiétudes des travailleurs sur leur sort et le flou sur leur situation. Il est également question de suivre au cas par cas, toutes les entreprises qui ont des difficultés, sachant l?impact sur les prestations de service public qui connaissent des blocages actuellement. La décision serait de promouvoir un dialogue de proximité avec les employeurs et les partenaires sociaux, afin d?identifier les causes de ces difficultés et de libérer les secteurs névralgiques, du marasme qui menace leur maintien.
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