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L'Entente au rendez-vous de son histoire...



L'Entente au rendez-vous de son histoire...
A l'issue d'un stage bloqué réussi, les Ententistes, qui ont bien travaillé à l'ENSO, mettront ce matin le cap sur la capitale congolaise où ils donneront, dimanche, la réplique au Vita Club qui n'a toujours pas, 33 ans après, digéré sa défaite à ce stade de la compétition face à un autre club algérien, en l'occurrence la Jeunesse sportive de Kabylie, l'autre formation algérienne à avoir, avec le MCA, obtenu la Coupe des champions.La mission de l'Entente ne sera pas aisée face à la bande de Jean-Florent Ibeng Ikwange, qui n'est autre que le coach de l'équipe nationale du Congo qui a, la semaine dernière, pris le dessus sur la Côte d'Ivoire à Abidjan. Sans faire trop de bruit, les Noir et Blanc ont peaufiné leur préparation et leur plan d'attaque d'une bataille qui s'annonce d'ores et déjà rude. Notamment dans l'engagement physique et l'aspect tactique. Pour bien protéger ses cartes, l'entraîneur en chef de l'Aigle noir, Madoui, reste à la fois muet et discret.Les bobos de santé de certains cadres d'une équipe ne disposant pas d'un banc étoffé tracassent le jeune technicien, qui n'a pas les coudées franches. Comme un malheur n'arrive jamais seul, le virevoltant attaquant Belameiri, ayant à son actif 6 buts dans la compétition, n'est pas certain de prendre part à ce rendez-vous historique. La probable défection du Franco-Algérien complique davantage la mission des Ententistes, qui ont une idée des forces et des faiblesses de l'adversaire se situant d'un cran au dessus du TP Mazembé. En dépit des éternels et récurrents couacs, les Sétifiens, qui ont plus de rencontres dans les jambes que leurs adversaires, ont d'innombrables atouts à faire valoir. «La finale ne se joue pas, elle se gagne.L'équipe qui a travaillé en fonction des circonstances et du jeu de l'adversaire est d'aplomb. Nous connaissons bien notre adversaire disposant de pas moins de sept internationaux. Décidée à relever le défi, l'équipe, qui ne veut pas s'arrêter en si bon chemin, fera le maximum pour contrer l'adversaire qui est tout sauf une citadelle infranchissable», a déclaré le directeur sportif de l'Aigle noir, Djihad Boulehdjilet, un des vainqueurs de la Coupe d'Afrique des clubs champions, un certain 9 décembre 1988?





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