L'ascenseur à l'arrêt depuis une semaine

Les locataires de l'une des tours de l'AADL, la E1, sise à Ali Mendjeli, souffrent depuis une semaine de l'arrêt de l'un des deux ascenseurs, selon certains d'entre eux. Une situation pénalisante à plus d'un titre quand on sait que l'immeuble en question comporte seize étages.Conséquence, les locataires sont contraints, dans leur majorité, à emprunter les escaliers avec tout ce que cela induit en effort et en temps. Nos interlocuteurs soutiennent avoir alerté l'organisme chargé de la gestion du site, mais jusqu'à ce jour, rien n'a été fait. Le gestionnaire s'est contenté d'afficher un avis sur lequel on pouvait lire : «suite à un acte de détérioration, versement de l'huile dans la commande de l'ascenseur, commis par l'un des locataires et qui a provoqué son arrêt total, nous vous informons que le problème sera réglé dans quelques jours».Il est vrai qu'essayer de graisser un mécanisme en raison du bruit strident que dégage l'ascenseur n'était pas la meilleure solution. Mais, faudrait-il encore relever que l'AADL n'a rien entrepris pour épargner aux concernés ses nuisances sonores à chaque montée ou descente de la cabine de l'ascenseur.Selon nos interlocuteurs, il s'est écoulé une semaine, jour pour jour, depuis l'arrêt de l'ascenseur et rien n'est entrepris pour sa réparation. Les concernés déplorent cette situation fort pénalisante, particulièrement ceux occupant les dix derniers étages. «Comment faire pour les personnes âgées, les malades et les enfants '», se demandent-ils, d'autant que le second ascenseur est, régulièrement en panne.