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L'Algérie en bas du tableau



L'Algérie en bas du tableau
L'école algérienne va mal, très mal ! Et le classement de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), sur la qualité, l'efficacité et l'équité des systèmes scolaires, le démontre amèrement. Dévoilé ce mardi, ce classement qui a porté sur 140 Etats, place l'Algérie en bas du tableau.L'école algérienne va mal, très mal ! Et le classement de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), sur la qualité, l'efficacité et l'équité des systèmes scolaires, le démontre amèrement. Dévoilé ce mardi, ce classement qui a porté sur 140 Etats, place l'Algérie en bas du tableau.
Elle se retrouve au 11e rang à l'échelle arabe (119e), tandis que la Tunisie et le Maroc s'adjugent les premières places sur le plan arabe et respectivement aux 84e et 100e positions sur le plan mondial. Dans le classement des pays arabes, l'école algérienne occupe le 11e rang, suivie de la Mauritanie 12e et de l'Egypte 13e.
Le Qatar prend la tête du classement, talonné par les EAU (2e) tandis que la Tunisie et le Maroc occupent respectivement les 7e et 9e positions en matière de l'efficience du système scolaire. Le rapport de l'Unesco a souligné que six (6) Etats arabes ne font pas partie de l'étude faute de critères de qualité d'enseignement et de scolarisation.
Il s'agit de l'Irak, la Syrie, le Yémen, la Libye et le Soudan. Un constat qui fait vraiment mal, même ce classement ne reflète vraiment pas totalement la réalité. Car avouons le, des acquis notables sont enregistrés. Mais le dilemme dans tout ça est l'absence d'une volonté politique et la transparence pour trouver la véritable orientation qui est le remède à ce mal. Le véritable débat en tout cas sur l'école est reporté d'année en année, sans que l'on puisse réellement faire un diagnostic fiable de l'état du système éducatif, qui aujourd'hui, ne répond plus aux besoins des exigences du troisième millénaire dominé par le développement de la science, de la technologie et des langues.
Sur le sujet, Messaoud Boudiba, secrétaire national chargé de la communication du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur de l'éducation (CNAPESTE) a affirmé qu'indépendamment des classements internationaux et les critères utilisés par l'Unesco qui restent inconnus, le syndicaliste a évoqué un point sensible parmi tant autres qui nuisent à la qualité de l'éducation, en l'occurrence : la formation, seule valeur sûre. Messaoud Boudiba affirme que « on ne peut parler de la qualité tant qu'on n'a toujours pas réglé la problématique du produit de recrutement" d'autant plus que l'on recrute des dizaines de milliers d'enseignants par an sans formation ni préparation
Elle se retrouve au 11e rang à l'échelle arabe (119e), tandis que la Tunisie et le Maroc s'adjugent les premières places sur le plan arabe et respectivement aux 84e et 100e positions sur le plan mondial. Dans le classement des pays arabes, l'école algérienne occupe le 11e rang, suivie de la Mauritanie 12e et de l'Egypte 13e.
Le Qatar prend la tête du classement, talonné par les EAU (2e) tandis que la Tunisie et le Maroc occupent respectivement les 7e et 9e positions en matière de l'efficience du système scolaire. Le rapport de l'Unesco a souligné que six (6) Etats arabes ne font pas partie de l'étude faute de critères de qualité d'enseignement et de scolarisation.
Il s'agit de l'Irak, la Syrie, le Yémen, la Libye et le Soudan. Un constat qui fait vraiment mal, même ce classement ne reflète vraiment pas totalement la réalité. Car avouons le, des acquis notables sont enregistrés. Mais le dilemme dans tout ça est l'absence d'une volonté politique et la transparence pour trouver la véritable orientation qui est le remède à ce mal. Le véritable débat en tout cas sur l'école est reporté d'année en année, sans que l'on puisse réellement faire un diagnostic fiable de l'état du système éducatif, qui aujourd'hui, ne répond plus aux besoins des exigences du troisième millénaire dominé par le développement de la science, de la technologie et des langues.
Sur le sujet, Messaoud Boudiba, secrétaire national chargé de la communication du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur de l'éducation (CNAPESTE) a affirmé qu'indépendamment des classements internationaux et les critères utilisés par l'Unesco qui restent inconnus, le syndicaliste a évoqué un point sensible parmi tant autres qui nuisent à la qualité de l'éducation, en l'occurrence : la formation, seule valeur sûre. Messaoud Boudiba affirme que « on ne peut parler de la qualité tant qu'on n'a toujours pas réglé la problématique du produit de recrutement" d'autant plus que l'on recrute des dizaines de milliers d'enseignants par an sans formation ni préparation
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