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L'Algérie donne une plus grande priorité aux entreprises nationales



L'Algérie donne une plus grande priorité aux entreprises nationales
L'Algérie cherche à changer la façon dont elle exerce ses activités, en donnant une plus grande priorité aux entreprises nationales et relever les exigences pour les entreprises étrangères qui cherchent à occuper une partie de l'expansion rapide de l'économie.

En vertu de nouvelles règles annoncées à la mi-Juillet, les entreprises locales doivent être pris en considération dans les offres préférentielles état aussi longtemps que leurs offres sont de moins de 25% de plus que celles déposées par les entreprises d'outre-mer. Selon les anciennes règles, le plafond a été fixé à 15%.

Le règlement stipule également que tous les contrats d'État doit être ouvert à un appel d'offres à l'échelle nationale, dans lequel seules les entreprises locales peuvent soumissionner. Les sociétés étrangères ne seront invités à soumissionner pour l'appel d'offres si le travail n'est pas attribué à une entreprise nationale.

En annonçant les nouvelles mesures, le Président Abdelaziz Bouteflika a déclaré que si les entreprises d'outre-mer avait un rôle à jouer en Algérie, le changement de réglementation est nécessaire pour aider les entreprises nationales et la baisse du chômage, surtout chez les jeunes.

"Il appartient à nos gens d'affaires à saisir les opportunités offertes par le programme d'investissement public, ainsi que le traitement préférentiel accordé à eux", a déclaré M. Bouteflika. "Il appartient aux entreprises étrangères intéressées par le marché algérien à nous rejoindre sur le chemin d'un partenariat gagnant-gagnant et, en échange de contrats qu'ils obtiendront, à participer à la modernisation de nos propres entreprises."

Le changement doit être renforcée par le gouvernement quand il les mains par un budget supplémentaire, prévu un certain temps au mois d'août. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, a déjà dit que la loi budgétaire supplémentaire sera en outre à souligner la détermination du gouvernement à acheter des produits locaux.

"La loi de finances pour 2010 s'inscrit dans la continuité de ce qui a déjà été décidé. C'est-à-dire, il est une priorité pour nos entreprises nationales", Djoudi a dit le 22 Juillet.

En parallèle aux efforts visant à stimuler la participation locale aux appels d'offres et de projets, le gouvernement envisage également un projet de loi qui énoncerait comment l'Etat détermine le prix des entreprises à capitaux étrangers qu'il entend acheter. Si elle est adoptée, la loi exigerait que le prix de vente fixé par l'évaluation d'experts, plutôt que la valeur de marché, lorsque l'État achète des participations dans des entreprises algériennes détenues par les sociétés d'outre-mer.

Selon un projet de loi cité dans un article de Reuters sur Juillet 20, cette mesure permettrait à l'État pour lutter contre la spéculation, de faciliter l'accès pour les entreprises nationales à l'investissement international et de «protéger l'économie nationale contre les effets négatifs de la crise financière mondiale ".

Les nouveaux règlements sont loin d'être unique en Algérie, et les marchés préférentiels et des règles d'appel d'offres peut être trouvé dans le monde entier, des États-Unis en Afrique du Sud et le Brésil. Les réformes de limiter la mesure dans laquelle les entreprises étrangères sont en mesure de rivaliser d'offres lancés au titre du programme du gouvernement des investissements massifs, cependant. En vertu du régime, qui a été annoncé dans le milieu de l'année, l'Etat est de labourer des $ 286bn dans des projets visant à élargir et à diversifier la base économique du pays, créer des emplois pour des centaines de milliers et des mesures d'incitation et de soutien pour les entreprises du secteur privé.

Quelques 130 milliards $ du programme 2010 d'investissement doit être consacré à des articles coûteux comme les transports et l'infrastructure des services publics, le solde devant être dirigés vers d'autres projets de travaux publics et du logement, le soutien au secteur de l'agriculture, l'éducation, de formation et d'aide aux entreprises régimes.

Le plan de cinq ans représente une formidable opportunité pour les entreprises contractantes, et un certain nombre d'entreprises étrangères ont manifesté leur intérêt. En effet, certains des projets d'infrastructure de l'Algérie précédente sont allés aux grands acteurs internationaux en provenance de pays allant de la Chine à l'Espagne.

Il ne sait pas encore combien strictement la nouvelle réglementation sera appliquée, avec le gouvernement ayant demandé aux entreprises de l'Europe, la Russie, les Etats-Unis et en Asie à intensifier leurs investissements dans l'économie algérienne. Bien que le gouvernement est accéléré le développement des entreprises de grande envergure dans le secteur privé, ce processus prend du temps et, dans certains domaines au moins, fournisseurs de services nationaux ne seront pas en mesure de répondre aux exigences fixées par l'État.

Si le gouvernement va atteindre tous les objectifs qu'elle s'est fixés en vertu du régime, il faudra un savant équilibre d'encourager la participation étrangère et de l'expertise, tout en augmentant le rôle joué par les entreprises nationales dans l'élargissement de l'économie.

Réseau arabe Global

Cet article est publié en partenariat avec Oxford Business Group
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