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L'Algérie a réduit sa production de 25.000 barils




L'Algérie a réduit sa production de pétrole dans une fourchette oscillant entre 24.000et 25.000 barils par jour au 1er janvier 2019, dans le cadre de l'accord Opep-nonOpep signé en décembre dernier, a annoncéhier, le vice-président de l'exploration et de la production de Sonatrach,L'Algérie a réduit sa production de pétrole dans une fourchette oscillant entre 24.000et 25.000 barils par jour au 1er janvier 2019, dans le cadre de l'accord Opep-nonOpep signé en décembre dernier, a annoncéhier, le vice-président de l'exploration et de la production de Sonatrach,
SalahMekmouche. Avant la mise en oeuvre decet accord, la production de l'Algérie étaitde 1,08 million de barils par jour, a indiquéà la presse M. Mekmouche, cité parl'agence officielle. L'Opep et les pays producteurs de pétrolenon membres de l'Opep, ont conclu unaccord en décembre dernier à Vienne, quiprévoit une réduction collective de la productionde brut de 1,2 million de barils parjour, à partir de janvier 2019, pour unepériode initiale de six mois.
En vertu de cet accord, les pays de l'Opep doivent réduire leur production de 800.000barils par jour, contre 400.000 barils parjour pour les pays producteurs non membresde l'Opep. Samedi, le ministre duPétrole des Emirats arabes unis, Souhaïlal Mazroueï, a annoncé s'attendre à ce quele cours moyen du pétrole oscille autour de70 dollars le baril cette année, dans uncontexte de réduction globale par l'Opep,de la production de pétrole en 2019, selon plusieurs agences de presse. Et récemment, le ministre saoudien de l'Energie, Khaled al-Faleh, a indiqué que l'Arabie saoudite réduira en janvier, ses exportations de pétrole de 10% par rapport à novembre,
afin de stabiliser les prix. Pour sa part, le ministre russe de l'Energie, Alexandre Novak, a indiqué que la Russie a commencé à réduire davantage sa production de pétrole et le niveau de réduction pourrait atteindre 50.000 barils par jour d'ici la fin janvier, sachant que le niveau actuel de réduction de la production de pétrole de son pays a dépassé les 30.000 barils par jour.
Le pétrole se replie en Asie
Les cours du pétrole étaient orientés à la baisse, lundi, en raison d'inquiétudes quant à l'impact potentiel d'un ralentissement économique mondial sur la demande enbrut. Vers 03H00 GMT, le baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en février, reculait de 47 à 51 dollars dans les échanges électroniquesen Asie. Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en mars, cédait 45 cents à 60,03 dollars. "La dernière session a été particulièrement volatile, le ralentissement économique mondial mettant fin à neuf sessions consécutives de hausse", a rappelé Oriano Lizza, de CMC Markets Singapore.
L'élan à la hausse s'est arrêté, car "l'optimisme relatif aux discussions commerciales sino-américaines s'est estompé", a expliqué Sukrit Vijayakar, de Trifecta Consultants. Le président américain, Donald Trump, avait affirmé que ces négociations, qui s'étaient achevées mercredi, s'étaient bien passées, mais les communiqués des deux arties, bien que positifs, étaient vagues, et "manquaient de détails concrets", adéclaré Sukrit Vijayakar.L'annonce d'une baisse de production saoudienne avait également contribué, à soutenir les prix. Mais, si l'Arabie saoudite "contribue à rééquilibrer les marchés, cela sera-t-il suffisant, dans un contexte de ralentissement de la croissance, pour pousser les prix vers le haut'", s'est interrogé Stephen Innes, analyste chez OANDA.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses partenaires, dont la Russie, avaient convenu en fin d'année, de prolonger leur accord de limitation de la production, afin de soutenir des cours qui avaient fortement dégringolé.Mais, le ralentissement économique mondial risque de peser sur la d mande en brut, et donc , sur les prix.
SalahMekmouche. Avant la mise en oeuvre decet accord, la production de l'Algérie étaitde 1,08 million de barils par jour, a indiquéà la presse M. Mekmouche, cité parl'agence officielle. L'Opep et les pays producteurs de pétrolenon membres de l'Opep, ont conclu unaccord en décembre dernier à Vienne, quiprévoit une réduction collective de la productionde brut de 1,2 million de barils parjour, à partir de janvier 2019, pour unepériode initiale de six mois.
En vertu de cet accord, les pays de l'Opep doivent réduire leur production de 800.000barils par jour, contre 400.000 barils parjour pour les pays producteurs non membresde l'Opep. Samedi, le ministre duPétrole des Emirats arabes unis, Souhaïlal Mazroueï, a annoncé s'attendre à ce quele cours moyen du pétrole oscille autour de70 dollars le baril cette année, dans uncontexte de réduction globale par l'Opep,de la production de pétrole en 2019, selon plusieurs agences de presse. Et récemment, le ministre saoudien de l'Energie, Khaled al-Faleh, a indiqué que l'Arabie saoudite réduira en janvier, ses exportations de pétrole de 10% par rapport à novembre,
afin de stabiliser les prix. Pour sa part, le ministre russe de l'Energie, Alexandre Novak, a indiqué que la Russie a commencé à réduire davantage sa production de pétrole et le niveau de réduction pourrait atteindre 50.000 barils par jour d'ici la fin janvier, sachant que le niveau actuel de réduction de la production de pétrole de son pays a dépassé les 30.000 barils par jour.
Le pétrole se replie en Asie
Les cours du pétrole étaient orientés à la baisse, lundi, en raison d'inquiétudes quant à l'impact potentiel d'un ralentissement économique mondial sur la demande enbrut. Vers 03H00 GMT, le baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en février, reculait de 47 à 51 dollars dans les échanges électroniquesen Asie. Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en mars, cédait 45 cents à 60,03 dollars. "La dernière session a été particulièrement volatile, le ralentissement économique mondial mettant fin à neuf sessions consécutives de hausse", a rappelé Oriano Lizza, de CMC Markets Singapore.
L'élan à la hausse s'est arrêté, car "l'optimisme relatif aux discussions commerciales sino-américaines s'est estompé", a expliqué Sukrit Vijayakar, de Trifecta Consultants. Le président américain, Donald Trump, avait affirmé que ces négociations, qui s'étaient achevées mercredi, s'étaient bien passées, mais les communiqués des deux arties, bien que positifs, étaient vagues, et "manquaient de détails concrets", adéclaré Sukrit Vijayakar.L'annonce d'une baisse de production saoudienne avait également contribué, à soutenir les prix. Mais, si l'Arabie saoudite "contribue à rééquilibrer les marchés, cela sera-t-il suffisant, dans un contexte de ralentissement de la croissance, pour pousser les prix vers le haut'", s'est interrogé Stephen Innes, analyste chez OANDA.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses partenaires, dont la Russie, avaient convenu en fin d'année, de prolonger leur accord de limitation de la production, afin de soutenir des cours qui avaient fortement dégringolé.Mais, le ralentissement économique mondial risque de peser sur la d mande en brut, et donc , sur les prix.


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