Il est indéniable que l'affaire du docteur Mourad Dhina puisse perdurer au-delà du « délai » prévu par la justice française « téléguidée » par l'Elysée dans une situation d'un dossier qui finalement aboutirait vide en accusations. Par ailleurs, ces dernières ont été déjà soupçonnées de factices par le passé, jugées et rejetées définitivement par la justice helvétique. Mais dans la supposée attente de l'exécution en suspens d'un mandat algérien d'extradition, l'accusé demeurera incarcéré pour la durée maximale « requise » d'une détention politique, sans recours, infligé par le parquet parisien dans ce qui ressemble à un coup de main momentané pour un « avortement » d'un probable « bourgeon algérien » !
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Posté Le : 21/02/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Abdelwahab Benyelles
Source : www.lequotidienalgerie.org