Algérie - A la une


Le coordinateur de l'Instance de dialogue et de médiation, Karim Younes, a affirmé hier dimanche à Alger, que l'Instance "accordera une chance de dialogue à toutes les franges de la société, en vue de trouver des solutions à la crise politique que vit le pays".Le coordinateur de l'Instance de dialogue et de médiation, Karim Younes, a affirmé hier dimanche à Alger, que l'Instance "accordera une chance de dialogue à toutes les franges de la société, en vue de trouver des solutions à la crise politique que vit le pays".
Lors d'une rencontre avec des jeunes du Hirak populaire, issus des wilayas de Guelma, Souk Ahras, Batna, Tébessa et Khenchela, M. Karim Younes aindiqué que l'instance veillait à "accorder une chance de dialogue à toutes lesfranges de la société algérienne, notamment aux jeunes, à travers l'ensemble du territoire national, en vue de trouver dessolutions à la crise politique actuelle".Il a, d'autre part, tenu à rappeler quel'Instance de dialogue et de médiation "neparle pas au nom du peuple algérien, niau nom du Hirak populaire ou du pouvoir". Mais Karim Younes s'est aussiattaqué, et c'est une première, aux adversairesdu dialogue politique mis sur railpar l'Instance dont il est le coordinateurnational.
"Les parties qui refusent le dialoguecherchent à brûler le pays et à le conduire vers des situations dangereuses",accuse-t-il, tout en rappelant que"celui qui ne veut pas dialoguer est libre,nous n'obligerons personne à négocier avec nous par la force". Karim Younes, qui a haussé le ton, a parlé de "climat électrique volontairement entretenu par des parties qui cherchent à brûler le pays" et leur rappelle (à ces parties) qu' "elles sont seules responsables". "Mais ils ne nous prendront pas avec eux, nous ne voulons pas brûler notre pays, nous voulons juste le sortir de l'impasse qui risque de nous conduire vers quelque chose de très difficile pour note peuple". La rencontre a été une occasion pour ces jeunes, de formuler plusieurs propositions, dont celles de "fixer la date de la présidentielle dans les plus brefs délais, et de garantir les conditions nécessaires pour la tenue d'une élection régulière et transparente, en sus de l'installation d'une instance nationale indépendante pour la surveillance de cette élection, depuis le début des préparatifs jusqu'à l'annonce des résultats définitifs".
Ils ont insisté, en outre, sur l'importance d'éviter le vide constitutionnel, pour préserver les institutions de l'Etat, préconisant que "le Président élu procède à une révision de la Constitution et engage de profondes réformes pour l'édification de l'Etat de droit". La majorité des intervenants ont proposé de "démettre le gouvernement actuel et de le remplacer par un gouvernement technocrate, formé de compétences nationales". Ils ont également appelé, à "la libération des manifestants arrêtés lors du Hirak dans plusieurs wilayas", exigeant "d'écarter les partis pro-système et des personnes impliquées dans des affaires de corruption du dialogue national".
Lors d'une rencontre avec des jeunes du Hirak populaire, issus des wilayas de Guelma, Souk Ahras, Batna, Tébessa et Khenchela, M. Karim Younes aindiqué que l'instance veillait à "accorder une chance de dialogue à toutes lesfranges de la société algérienne, notamment aux jeunes, à travers l'ensemble du territoire national, en vue de trouver dessolutions à la crise politique actuelle".Il a, d'autre part, tenu à rappeler quel'Instance de dialogue et de médiation "neparle pas au nom du peuple algérien, niau nom du Hirak populaire ou du pouvoir". Mais Karim Younes s'est aussiattaqué, et c'est une première, aux adversairesdu dialogue politique mis sur railpar l'Instance dont il est le coordinateurnational.
"Les parties qui refusent le dialoguecherchent à brûler le pays et à le conduire vers des situations dangereuses",accuse-t-il, tout en rappelant que"celui qui ne veut pas dialoguer est libre,nous n'obligerons personne à négocier avec nous par la force". Karim Younes, qui a haussé le ton, a parlé de "climat électrique volontairement entretenu par des parties qui cherchent à brûler le pays" et leur rappelle (à ces parties) qu' "elles sont seules responsables". "Mais ils ne nous prendront pas avec eux, nous ne voulons pas brûler notre pays, nous voulons juste le sortir de l'impasse qui risque de nous conduire vers quelque chose de très difficile pour note peuple". La rencontre a été une occasion pour ces jeunes, de formuler plusieurs propositions, dont celles de "fixer la date de la présidentielle dans les plus brefs délais, et de garantir les conditions nécessaires pour la tenue d'une élection régulière et transparente, en sus de l'installation d'une instance nationale indépendante pour la surveillance de cette élection, depuis le début des préparatifs jusqu'à l'annonce des résultats définitifs".
Ils ont insisté, en outre, sur l'importance d'éviter le vide constitutionnel, pour préserver les institutions de l'Etat, préconisant que "le Président élu procède à une révision de la Constitution et engage de profondes réformes pour l'édification de l'Etat de droit". La majorité des intervenants ont proposé de "démettre le gouvernement actuel et de le remplacer par un gouvernement technocrate, formé de compétences nationales". Ils ont également appelé, à "la libération des manifestants arrêtés lors du Hirak dans plusieurs wilayas", exigeant "d'écarter les partis pro-système et des personnes impliquées dans des affaires de corruption du dialogue national".


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