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Il revient sur les conditions de son départ du club


Il revient sur les conditions de son départ du club
Dans un entretien qu'il a accordé à l'édition électronique du journal l'Equipe, Foued Kadir est revenu sur son départ de l'OM. Prêté à la dernière minute au Real Betis (Liga Adelante) où il a d'ailleurs honoré sa première apparition mercredi dernier en Coupe du Roi face à l'équipe de Llagostera avec à la clé une prestation de premier ordre ponctuée par deux passes décisives qui ont permis à son équipe de l'emporter par quatre but a un, l'ancien joueur de Valencienne a estimé que les dirigeants olympiens et l'entraîneur Marcelo Bielsa plus particulièrement ont tout fait pour l'éviter en refusant de communiquer avec lui. "Je ne le connaissais pas plus que ça. J'en avais entendu vaguement parler lorsqu'il était à Bilbao. Maintenant, c'est normal qu'il y ait une certaine ferveur des supporters. Pour eux, c'était le moyen de repartir sur de nouvelles bases. Je n'ai pas vraiment eu affaire à lui, je l'ai à peine croisé. Mais par rapport aux joueurs avec qui j'en ai discuté, il parle très peu, il dit à peine bonjour. Il cherche juste la rigueur, que les joueurs fassent ce qu'il demande. Ça leur fait bizarre. Un coach qui baisse la tête, qui ne vous salue pas", a-t-il dit. "A Marseille, en ce moment, on ne sait pas de qui ça vient, d'où ça vient ' Je ne suis pas sûr que ça puisse marcher comme ça. Quand c'est trop le flou, c'est plus compliqué sur le terrain. Il faudrait que tout le monde se dise les choses en face", a ajouté le natif de Martigues qui s'est déclaré, en outre, surpris par la manière avec laquelle la direction de l'Olympique de Marseille lui a fait savoir qu'elle ne pourra pas compter sur lui pour cette saison. "Ce qui m'a le plus embêté, c'est de recevoir l'information par mail, de ne pas savoir le pourquoi du comment. Il y avait un nouveau coach, un nouveau projet, ça aurait pu beaucoup mieux se passer. On aurait pu reprendre tous ensemble et voir au bout d'un mois sur qui il comptait ou non. Je pense aujourd'hui à quelqu'un comme Benoït Cheyrou qui a 15 ans de carrière derrière lui, qui a tout connu et qui est traité comme ça... C'est malhonnête. Même moi, j'ai 30 ans, on peut me dire les choses en face. Il n'y en a pas un qui a agi comme un homme...'', a conclut l'ex-milieu offensif des Verts qui a figuré dans la liste des 27 joueurs retenus par le sélectionneur national Christian Gourcuff avant que ce dernier ne retire son nom au même titre de Yebda, Harek et Mostefa.NomAdresse email


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