Huit Marocains arrêtés pour séjour illégal...

Huit ressortissants marocains, entrés illégalement sur le territoire algérien, ont été arrêtés récemment par la gendarmerie au niveau de la commune d'El Aricha, située à 44 km du pays voisin, a-t-on indiqué, hier, auprès de la brigade de gendarmerie nationale.Accusés de séjour illégal, ils ont été présentés au juge instructeur près le tribunal de Sebdou qui les a placés sous mandat de dépôt. Il est à rappeler que des dizaines de Marocains se rendent souvent dans la région de Tlemcen et autres wilayas limitrophes pour y travailler clandestinement dans diverses activités notamment dans le secteur du bâtiment. Par ailleurs, les mêmes services ont également appréhendé deux jeunes narcotrafiquants en possession d'une importante quantité de drogue, toujours au niveau de la commune d'El Aricha. Les deux mis en cause ont été présentés hier et placés sous mandat de dépôt, souligne la gendarmerie nationale.Du côté de Maghnia , des dizaines de contrebandiers, astreints à payer des amendes estimées à des milliards, se sont rassemblés, hier, devant la recette des douanes. Brandissant des banderoles, les manifestants, dans l'impossibilité de s'acquitter des amendes encourues, demandent l'intervention des hauts responsables de l'Etat afin d'éponger « leurs dettes ».Lors de ce sit-in, un dispositif sécuritaire a été mis en place pour faire face à tout dérapage.Mohamed Medjahdi... Saisie de sept qx de drogue à Bab El AssaPlus de sept quintaux de résine de cannabis ont été saisis, hier, par les gardes-frontières de Tlemcen, au niveau de la localité frontalière de Bab El Assa, a-t-on appris de sources sécuritaires. La première prise de 5 quintaux a été enregistrée près du tracé frontalier, au lieu-dit Lalla Aïcha, où les gendarmes ont intercepté cinq baudets chargés de jerricans contenant le produit prohibé. La seconde opération a été signalée au niveau d'une habitation abandonnée non loin de la frontière. Là, les gendarmes ont découvert une quantité de 2 quintaux de kif. Une enquête a été ouverte par les services de sécurité pour en identifier les auteurs, souligne-t-on de même source.