Algérie - A la une

Hausse vertigineuse des prix



Hausse vertigineuse des prix
La flambée des prix sans précédent des fruits et légumes, qui s'est emparée depuis déjà un bout de temps, et d'ailleurs, ne semble pas avoir une fin, a suscité un désappointement des faibles revenus.La flambée des prix sans précédent des fruits et légumes, qui s'est emparée depuis déjà un bout de temps, et d'ailleurs, ne semble pas avoir une fin, a suscité un désappointement des faibles revenus.
Un simple tour à travers les étals des commerçants et des marchés de la capitale suffit largement pour s'en convaincre.
Les prix affichent cher. C'est le cas pour la pomme de terre (80 DA/ kg), la carotte (70 DA), les aubergines (100 DA), la courgette (80 DA), les navets (80 DA), le concombre (80 DA), l'oignon sec (60 DA), l'oignon vert (60 DA), la laitue (70 DA), les radis (80 DA), les haricots verts à 140 DA, les fèves (160 DA), l'artichaut (70 DA). Les produits maraîchers ne font pas exception. La tomate était cédée à 110 DA, le poivron à 160 DA, le piment à 140 DA. De leur côté, les fruits se révèlent tous inaccessibles.
La mandarine qui est un fruit de saison par excellence coûte 170 DA. Les oranges dont la qualité est loin d'être bonne se vendaient hier à 200 DA, la pomme royale à 350 DA, la pomme fraîche 400 DA. Devant la cherté de ces produits qui ne sont même pas à la portée ni des boursesmoyennes, encore moins de celles de la couche démunie,
les consommateurs inventent des - options d'achat - pour s'approvisionner sans trop affecter leurs portefeuilles.
C'est ainsi que des mères de familles optent pour une courgette, unecarotte et une poignée de haricots verts au lieu d'acheter un kilo de chaqueproduit. La pomme de terreet l'oignon, à 45 DA, semblent être les seuls produitsque les ménagères achètentpar kilo. Commentant cette hausse des prix, les détaillants et les grossistes se rejettent la balle dans leurs camps respectifs, tout enaccordant leurs violons pourévoquer à ce propos la loi del'offre et de la demande.
D'autres observateurs, aufait de l'évolution de la mercuriale, rendent responsables de cette hausse, lesdétaillants et les grossistesdes fruits et légumes ainsique les mandataires et les circuits de distribution et destockage de ces produits.L'inflation et l'absence d contrôle, sont également àl'origine de la tendancehaussière des prix des fruitset légumes ajoutent-ils.
Un simple tour à travers les étals des commerçants et des marchés de la capitale suffit largement pour s'en convaincre.
Les prix affichent cher. C'est le cas pour la pomme de terre (80 DA/ kg), la carotte (70 DA), les aubergines (100 DA), la courgette (80 DA), les navets (80 DA), le concombre (80 DA), l'oignon sec (60 DA), l'oignon vert (60 DA), la laitue (70 DA), les radis (80 DA), les haricots verts à 140 DA, les fèves (160 DA), l'artichaut (70 DA). Les produits maraîchers ne font pas exception. La tomate était cédée à 110 DA, le poivron à 160 DA, le piment à 140 DA. De leur côté, les fruits se révèlent tous inaccessibles.
La mandarine qui est un fruit de saison par excellence coûte 170 DA. Les oranges dont la qualité est loin d'être bonne se vendaient hier à 200 DA, la pomme royale à 350 DA, la pomme fraîche 400 DA. Devant la cherté de ces produits qui ne sont même pas à la portée ni des boursesmoyennes, encore moins de celles de la couche démunie,
les consommateurs inventent des - options d'achat - pour s'approvisionner sans trop affecter leurs portefeuilles.
C'est ainsi que des mères de familles optent pour une courgette, unecarotte et une poignée de haricots verts au lieu d'acheter un kilo de chaqueproduit. La pomme de terreet l'oignon, à 45 DA, semblent être les seuls produitsque les ménagères achètentpar kilo. Commentant cette hausse des prix, les détaillants et les grossistes se rejettent la balle dans leurs camps respectifs, tout enaccordant leurs violons pourévoquer à ce propos la loi del'offre et de la demande.
D'autres observateurs, aufait de l'évolution de la mercuriale, rendent responsables de cette hausse, lesdétaillants et les grossistesdes fruits et légumes ainsique les mandataires et les circuits de distribution et destockage de ces produits.L'inflation et l'absence d contrôle, sont également àl'origine de la tendancehaussière des prix des fruitset légumes ajoutent-ils.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)