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Hamzaoui Benchohra



Les génies des énergies renouvelables

Ils sont deux copains depuis l’âge de la marelle avant de rejoindre les bancs de la garderie communale implantée en plein cœur de la capitale Rostomide. Comme les appellent leurs camarades de classe, «le mobile et sa batterie», après avoir partagé ensemble près de 13 années de scolarisation le duo a choisi la branche de énergies renouvelables au sein de l’Institut national spécialisé de la formation professionnelle baptisé, au nom de la figure emblématique Kada Belkacem, pour une formation de trois ans .

Au registre des nos petites cervaux, on compte le solaire photovoltaïque, le solaire thermique, l’éolien, la biomasse et la géothermie après des longues recherches effectuées dans l’extrême sud- ouest. Un riche exposé suivi par les présents et les jurys de la soutenance dans une salle pleine avec la présentation de la production de l’électricité à partir de la lumière du soleil pour alimenter les coins les plus reculés du pays. Les deux premiers thèmes, selon Ouahrani Mohamed Amine, le solaire photovoltaïque et le solaire thermique, une série de capteurs solaires créateurs des productions des eaux chaudes qui seront utilisées au sein des bains et douches et même les chauffages pour réduire la consommation de gaz de ville et d’électricité. Pour l’exposé du second candidat Djalouat, figure l’éolien le système des aérogénérateurs mis en mouvement par le vent qui produisent des millions de mégawatheures pour revenir à la biomasse, l’une des anciennes pratiques de nos ancêtres. Selon l’orateur, la masse des végétaux qui réunit le bois, la paille et les déchets récupérés. Une soutenance clôturée aussi par le biogaz, les biocarburants et la géothermie, une chaleur selon le changement climatique (faible-moyenne-élevé) dont l’une des températures nous permet de produire une énergie électrique par vapeur interposée. La seconde étape réservée aux travaux pratiques et sur les lieux tout un bloc d’équipements vétustes récupérés des ateliers. Faute de moyens, nos deux génies ont réussi à obtenir la meilleure note avec mention «très bien». Avec un montage du système «D», une énergie provient de la conservation de la lumière du soleil en énergie électrique au sein des matériaux semi-conducteurs comme de la tôle métallique fine, mince et légère à la propriété de libérer sous l’influence d’une énergie électrique. Selon le lauréat Ouahrani Mohamed Amine, «l’effet photovoltaïque, quelques minutes plus tard; le jus apporté par les photons. Ces éléments heurtent les électrons et les libèrent. La règle induisant un courant électrique nous indique le taux calculé de micro-puissance en Watt. Finalement est transformé en courant alternative grâce à un onduleur.» A l’heure où de nombreux futurs cadres de la nation compétents du montage d’un baromètre des filières renouvelables électriques. Avec l’ambition, et faire partager la vie avec les nouvelles technologies pour un avenir meilleur et de réunir en un seul outil un ensemble d’indicateurs énergétiques. Il est primordial de former encore des jeunes de haut niveau avec une forte d’adaptation tant dans les différents métiers comme l’exemple de nos deux génies qui ont préféré troquer la blouse blanche contre le col bleu et de camper sur la zone steppique de Sidi Laadjel (Ksar Chellala ) loin des bruits de la ville. Une mention «très bien» pour nos deux brillants Ouahrani Djellouat. Quant à la palme d’or, elle revient au collectif de l’encadrement.
Hamzaoui Benchohra





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