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Haddad
Le président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), Ali Haddad, a indiqué vendredi à Djelfa, que la Tripartite était un cadre institutionnel permanent, de concertation et de dialogue sur les grandes questions économiques et sociales.Dans une allocution au Théâtre régional de Djelfa, à l'occasion de la célébration du double anniversaire de la création de l'UGTA et la nationalisation des hydrocarbures, M. Haddad a souligné que «la relance de l'économie nationale et la promotion de l'Algérie au rang des pays émergeants, n'était pas chose aisée, mais pas impossible, «tant qu'il y a un espace d'échanges, qu'est la Tripartite». «Nous devons préserver et enrichir cet espace d'échanges et d'?uvrer, ensemble, pour que ses décisions soient positives, d'autant qu'il y a des indices rassurants, puisque les pouvoirs publics ?uvrent conformément aux orientations et programme du président de la République, pour que les entreprises nationales, publiques ou privées, soient au c?ur des politiques publiques» a déclaré Haddad. Ces orientations «avaient annoncé expressément de nouvelles politiques économiques, reposant sur l'encouragement de l'investissement national générateur de richesse et d'emploi», a ajouté le responsable du FCE. «Nous sommes fermement convaincus au sein du «Forum» que nous sommes des partenaires du gouvernement et de l'UGTA, et nous ne sommes les adversaires d'aucune partie, quelle qu'elle soit, car l'expérience nous a appris que les bonnes décisions sont le fruit de la concertation et du dialogue serein», a soutenu le président du FCE. «A chaque fois que l'occasion nous est offerte, nous réaffirmons avec franchise, que nous ne faisons pas de la politique, mais nous ?uvrons, en tant que citoyens jaloux de leur pays et de son avenir, et en tant qu'opérateurs économiques, à apporter notre contribution à la mise en place de politiques économiques efficaces». Haddad a salué les décisions «audacieuses prises par les pouvoirs publics sur instruction du président de la République, et visant à encourager l'investissement et à développer l'entreprise nationale privée, à travers la dépénalisation de l'acte de gestion, le traitement du dossier du foncier industriel, et la levée des entraves bureaucratiques au profit des investisseurs, outre les mesures de la loi sur l'investissement et les micro-entreprises». La règle 51/49 pour les investisseurs étrangers constitue, est une décision « souveraine et judicieuse qui sert l'entreprise nationale et n'entrave pas le flux d'investissements étrangers», a-t-il soutenu.
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