Algérie - Revue de Presse

Grève d'une semaine à partir du 29 avril



Décidément, le secteur de l'éducation nationale n'est pas prêt de connaître une fin d'année dans la sérénité. En effet, sitôt que le Cnapest a mis fin à sa grève illimitée, qu'un autre syndicat vient d'en appeler à une autre. En effet, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unepf) vient d'annoncer sa volonté d'initier une grève d'une semaine renouvelable et ce, à partir du 29 avril prochain. Dans le communiqué rendu public hier, qui intervient suite à la réunion extraordinaire de son conseil national tenue les 16 et 17 avril, l'Unepf annonce en outre avoir décidé aussi d'initier deux jours de grève les 24 et 25 avril. Dans le communiqué signé par son président , Sadek Dziri, ce syndicat, qui appelle tous ses adhérents à participer à la réussite de ce mouvement de protestation, impute toute la responsabilité de cette situation au gouvernement. L'Unpef lance un appel au président de la République afin qu'il procède au gel du statut particulier révisant le décret 315-08 et ce, en vue de permettre de «corriger les dysfonctionnements de ce texte et d'épargner, par voie de conséquence, au secteur de l'éducation la "fitna" de cette bombe à retardement». Ainsi donc, si l'Unpef a appelé à la grève c'est que ses revendications n'ont pas été prises en compte. L'Unpef emboîte ainsi le pas au Cnapest, qui a a initié une grève illimitée à partir du 10 avril avant d'y mettre un terme permettant le retour des élèves aux lycées à partir d'hier. Pourtant, le Cnapest n'a pas eu gain de cause sur toute la ligne, mais ce sont sûrement les pressions subies par les membres de son bureau national qui l'ont amené à arrêter la grève. L'Unpef comme le Cnapest et les autres syndicats du secteur de l'éducation sont en négociations avec le ministère de l'Education dans le but de réviser le statut particulier des travailleurs du secteur. Et c'est justement la copie du projet de révision de ce statut particulier, loin de répondre apparemment aux aspirations des syndicats, qui est à l'origine de cette tension et cette montée des périls dans un secteur qui risque ainsi de connaître une fin d'année fort agitée.
Décidément, le secteur de l'éducation nationale n'est pas prêt de connaître une fin d'année dans la sérénité. En effet, sitôt que le Cnapest a mis fin à sa grève illimitée, qu'un autre syndicat vient d'en appeler à une autre. En effet, l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unepf) vient d'annoncer sa volonté d'initier une grève d'une semaine renouvelable et ce, à partir du 29 avril prochain. Dans le communiqué rendu public hier, qui intervient suite à la réunion extraordinaire de son conseil national tenue les 16 et 17 avril, l'Unepf annonce en outre avoir décidé aussi d'initier deux jours de grève les 24 et 25 avril. Dans le communiqué signé par son président , Sadek Dziri, ce syndicat, qui appelle tous ses adhérents à participer à la réussite de ce mouvement de protestation, impute toute la responsabilité de cette situation au gouvernement. L'Unpef lance un appel au président de la République afin qu'il procède au gel du statut particulier révisant le décret 315-08 et ce, en vue de permettre de «corriger les dysfonctionnements de ce texte et d'épargner, par voie de conséquence, au secteur de l'éducation la "fitna" de cette bombe à retardement». Ainsi donc, si l'Unpef a appelé à la grève c'est que ses revendications n'ont pas été prises en compte. L'Unpef emboîte ainsi le pas au Cnapest, qui a a initié une grève illimitée à partir du 10 avril avant d'y mettre un terme permettant le retour des élèves aux lycées à partir d'hier. Pourtant, le Cnapest n'a pas eu gain de cause sur toute la ligne, mais ce sont sûrement les pressions subies par les membres de son bureau national qui l'ont amené à arrêter la grève. L'Unpef comme le Cnapest et les autres syndicats du secteur de l'éducation sont en négociations avec le ministère de l'Education dans le but de réviser le statut particulier des travailleurs du secteur. Et c'est justement la copie du projet de révision de ce statut particulier, loin de répondre apparemment aux aspirations des syndicats, qui est à l'origine de cette tension et cette montée des périls dans un secteur qui risque ainsi de connaître une fin d'année fort agitée.





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