Ghoul y voit une "trahison nationale"

Ghoul ne décolère pas contre les partis d'opposition de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique qui ont organisé hier des manifestations dans tout le territoire national en signe de solidarité avec les populations du Sud sur la gaz de schiste.Ghoul ne décolère pas contre les partis d'opposition de la Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique qui ont organisé hier des manifestations dans tout le territoire national en signe de solidarité avec les populations du Sud sur la gaz de schiste.Lors d'une rencontre, organisée hier par TAJ à l'occasion de la célébration de l'anniversaire du 24 Février, il a encore une fois critiqué la politique de ces partis et de ces personnalités politiques pour avoir choisi la rue comme moyen d'expression et déclaré à ce sujet qu'à travers de telles actions, « c'est l'Algérie qui est visée dans sa stabilité et sa sécurité ».Il dira qu'un « peuple qui a su combattre la France colonialiste et l'Otan ne tombera jamais dans le piège que veulent lui tendre les ennemis de la nation » affirmant que « le jeu de la rue est dangereux et peut provoquer une crise qu'on ne pourra pas résoudre ». Le président de TAJ a assuré en outre que le peuple algérien « n'est pas aventurier et qu'il n'est pas prêt à revivre les moments durs qu'il a connus lors de la décennie noire ».Ghoul s'est dit à cette occasion convaincu que notre pays est « visé de toutes parts » et indiqué à ce sujet que les plans machiavéliques mis en place dans les laboratoires d'ailleurs sont soutenus par des mains algériennes. « Il est malheureux de constater aujourd'hui que les enfants de ce pays contribuent à porter cette Algérie vers des perspectives incertaines et dangereuses.Mais je suis certain que le peuple algérien n'acceptera jamais de remettre en cause les acquis qu'il a arrachés, notamment la stabilité et la sécurité du pays », a-t-il affirmé. Ce dernier a relevé que les ennemis de l'Algérie ont sorti la carte de « Daesh », après avoir échoué avec Al- Qaïda et le printemps arabe.Ghoul croit savoir, par ailleurs, les motivations ayant poussé l'opposition à descendre dans la rue. Pour lui, « beaucoup de parties, ici et ailleurs, n'ont pas accepté le fait que l'Algérie est devenue un pays pivot, influent et leader dans la région du Sahel et de l'Afrique du Nord. Un pays qui est derrière la stabilité de toute cette région en réussissant à régler plusieurs conflits et à mettre fin à des guerres comme au Mali. Un pays qui fait de gros efforts pour arrêter l'effusion du sang en Libye. Un pays qui croit que la stabilité et la sécurité de cette région, c'est aussi sa syabilité et sa sécurité ».Il pense qu'on s'acharne sur l'Algérie parce que cette dernière « a su mettre en échec les nombreuses tentatives de déstabilisation comme ça été le cas avec le printemps arabe » et que « son armée a réussi à sécuriser les frontières de tous les dangers ». Ghoul a relevé également les ambitions de l'Algérie à devenir, à moyen terme, une puissance énergétique, chose qui dérange beaucoup, à ses yeux. Le président de TAJ va plus loin en mettant en garde contre « les plans diaboliques visant à diviser le pays en petites républiques » et a appelé à cette occasion le peuple algérien à la « vigilance devant toute cette haine envers notre pays.Appeler les gens à descendre dans la rue dans cette conjoncture n'est pas une chose sage ni intelligente. Ça peut provoquer des dérapages qu'on ne pourra pas contrôler, avec des conséquences désastreuses sur l'avenir de l'Algérie », a-t-il averti. Ghoul n'a pas manqué, par ailleurs, de rappeler ce qui se passe en Libye, en Syrie et au Yemen et a souligné le danger de vouloir exploiter la rue à des fins personnelles et politiciennes. Ghoul a condamné, à la fin, le slogan de la solidarité avec les populations du Sud en déclarant à ce sujet que « ce discours est régionaliste et divise le peuple algérien ».Lors d'une rencontre, organisée hier par TAJ à l'occasion de la célébration de l'anniversaire du 24 Février, il a encore une fois critiqué la politique de ces partis et de ces personnalités politiques pour avoir choisi la rue comme moyen d'expression et déclaré à ce sujet qu'à travers de telles actions, « c'est l'Algérie qui est visée dans sa stabilité et sa sécurité ».Il dira qu'un « peuple qui a su combattre la France colonialiste et l'Otan ne tombera jamais dans le piège que veulent lui tendre les ennemis de la nation » affirmant que « le jeu de la rue est dangereux et peut provoquer une crise qu'on ne pourra pas résoudre ». Le président de TAJ a assuré en outre que le peuple algérien « n'est pas aventurier et qu'il n'est pas prêt à revivre les moments durs qu'il a connus lors de la décennie noire ».Ghoul s'est dit à cette occasion convaincu que notre pays est « visé de toutes parts » et indiqué à ce sujet que les plans machiavéliques mis en place dans les laboratoires d'ailleurs sont soutenus par des mains algériennes. « Il est malheureux de constater aujourd'hui que les enfants de ce pays contribuent à porter cette Algérie vers des perspectives incertaines et dangereuses.Mais je suis certain que le peuple algérien n'acceptera jamais de remettre en cause les acquis qu'il a arrachés, notamment la stabilité et la sécurité du pays », a-t-il affirmé. Ce dernier a relevé que les ennemis de l'Algérie ont sorti la carte de « Daesh », après avoir échoué avec Al- Qaïda et le printemps arabe.Ghoul croit savoir, par ailleurs, les motivations ayant poussé l'opposition à descendre dans la rue. Pour lui, « beaucoup de parties, ici et ailleurs, n'ont pas accepté le fait que l'Algérie est devenue un pays pivot, influent et leader dans la région du Sahel et de l'Afrique du Nord. Un pays qui est derrière la stabilité de toute cette région en réussissant à régler plusieurs conflits et à mettre fin à des guerres comme au Mali. Un pays qui fait de gros efforts pour arrêter l'effusion du sang en Libye. Un pays qui croit que la stabilité et la sécurité de cette région, c'est aussi sa syabilité et sa sécurité ».Il pense qu'on s'acharne sur l'Algérie parce que cette dernière « a su mettre en échec les nombreuses tentatives de déstabilisation comme ça été le cas avec le printemps arabe » et que « son armée a réussi à sécuriser les frontières de tous les dangers ». Ghoul a relevé également les ambitions de l'Algérie à devenir, à moyen terme, une puissance énergétique, chose qui dérange beaucoup, à ses yeux. Le président de TAJ va plus loin en mettant en garde contre « les plans diaboliques visant à diviser le pays en petites républiques » et a appelé à cette occasion le peuple algérien à la « vigilance devant toute cette haine envers notre pays.Appeler les gens à descendre dans la rue dans cette conjoncture n'est pas une chose sage ni intelligente. Ça peut provoquer des dérapages qu'on ne pourra pas contrôler, avec des conséquences désastreuses sur l'avenir de l'Algérie », a-t-il averti. Ghoul n'a pas manqué, par ailleurs, de rappeler ce qui se passe en Libye, en Syrie et au Yemen et a souligné le danger de vouloir exploiter la rue à des fins personnelles et politiciennes. Ghoul a condamné, à la fin, le slogan de la solidarité avec les populations du Sud en déclarant à ce sujet que « ce discours est régionaliste et divise le peuple algérien ».