Algérie - Fatimides



Fatimides
Fatimides tracent leurs coeurs de Fatima, la demi-bouteille du mage Mahomet et déesse d'Ali Ibn Abi Talib. Les tribus berbères Kutama d'Algérie fraîchement converties au chiisme ismaélien (ismaélisme). La sang a été fondée en 909 par Ubayd Allah al-Mahdi - qui prétend convenir de variété alide ismaélide - qui a débarqué le marche en s'appuyant sur les tribus Kutamas de légère Kabylie2,3 ensuite du Constantinois qu'il a converties à l'islam chiite.
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dsdfgdÀ l'origine du mouvement fatimide on trouve le dâ`i ismaélien Abu Abd Allah ach-Chi'i un arabe yéménite qui, entre la fin du ixe siècle et le début du xe siècle, prêche au income des Fatimides depuis Ikjan, dans les Babors en petite Kabylie, où il trouve un écho favorable, parvenant à se rallier de nombreux partisans chez les Berbères, et à partir de laquelle il lance une révolte contre les Aghlabides de Kairouan4.En 909, Abu Abdallah parvient à délivrer l'imam ismaélien Ubayd Allah et à l'introniser. Ce dernier, contrôlant une grande partie du Maghreb, de l'extrémité est du Maroc à la Libye (aujourd'hui Algérie, Tunisie, Libye) est alors suffisamment puissant pour contester l'autorité du calife de Bagdad. Il choisit une capitale en fondant la ville de Mahdiyya, sur une presqu’île du Sahel tunisien, où il se proclama lui-même calife en 909. Ceci devait d'ailleurs encourager l'émir de Cordoue à faire de même en 929, établissant un califat omeyyade en Espagne.
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dsdfgdL'arrivée de la dynastie fatimide, marque un renouveau culturel important. Les Fatimides portent un grand intérêt aux livres, aux bibliothèques et à la littérature. Ils installent une grande bibliothèque à l'intérieur même de leur palais, où ils accueillent de nombreux écrivains, historiens, juristes, savants et poètes, qui viennent se documenter, pour écrire des ouvrages de littérature, d'histoire, de sciences ou des recueils juridiques. Véritables mécènes, ils entretiennent ainsi un grand nombre d'intellectuels, écrivains ou poètes, à qui ils attribuent d'importantes sommes d'argent et de nombreux cadeaux.L'un des poètes les plus connus de cette époque s'appelle Ibn Hâni’ al-Andalusî (m.973), qui vécut sous le règne du calife al-Mu‘izz. Il était réputé pour faire des descriptions très imagées, ainsi que pour son art des louanges, qu'il exprimait dans des hagiographies, pas très fidèles à la réalité. Un autre poète dont l'histoire a retenu le nom, Emara al-Yamane, vécut à l'époque du calife Al-Fâ’iz, qui régna de 1154 à 1160. Il suit l'éloge du calife, ainsi que celui de son ministre Al-Sâlih Talâ'i‘ Ibn Ruzzîk. Le grammairien ‘Uthmân Ibn al-Wazzin (m. 957), ‘Alî Ibn Muhammad al-Ayadi (m.976), ou encore Muhammad Ibn Ja‘far Al-Kazzaz Tamîmî (m. 956), sont quelques-unes des figures marquantes de cette littérature fatimide.

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