Algérie - A la une

Excessive chez les adolescents Algériens


Excessive chez les adolescents Algériens
Dans un rapport, publié avant-hier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) tire la sonnette d'alarme quant au niveau de consommation du sucre à travers le monde. Concernant l'Algérie, l'agence dépendant de l'Organisation des Nations unies, relève un chiffre frappant :Dans un rapport, publié avant-hier, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) tire la sonnette d'alarme quant au niveau de consommation du sucre à travers le monde. Concernant l'Algérie, l'agence dépendant de l'Organisation des Nations unies, relève un chiffre frappant :3 adolescents algériens sur 5, soit 60%, consomment des boissons sucrées au moins une fois par jour. En comparaison, ce ratio est de 20 à 40% dans des pays comme les Etats-Unis ou des nations européennes, selon la même source.Ainsi, l'OMS alerte sur les effets néfastes de l'abus de sucre sur la santé des populations et appelle les Etats à agir pour freiner cette consommation. L'agence onusienne préconise de recourir au levier fiscal afin de décourager et résorber une trop grande ingestion de sucres. En effet, l'OMS appelle les gouvernements à taxer davantage les boissons sucrées (gazeuses notamment). En Algérie, le sucre est subventionné par l'Etat depuis 2011.3 adolescents algériens sur 5, soit 60%, consomment des boissons sucrées au moins une fois par jour. En comparaison, ce ratio est de 20 à 40% dans des pays comme les Etats-Unis ou des nations européennes, selon la même source.Ainsi, l'OMS alerte sur les effets néfastes de l'abus de sucre sur la santé des populations et appelle les Etats à agir pour freiner cette consommation. L'agence onusienne préconise de recourir au levier fiscal afin de décourager et résorber une trop grande ingestion de sucres. En effet, l'OMS appelle les gouvernements à taxer davantage les boissons sucrées (gazeuses notamment). En Algérie, le sucre est subventionné par l'Etat depuis 2011.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)