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Entre partisans et opposants...



Entre partisans et opposants...
Des partis politiques de l'opposition et des ONG algériennes ont signifié que la future Constitution doit avoir un régime semi-présidentiel. Le Parlement doit, selon eux, jouer un rôle éminent dans le contrôle de l'exécutif.Des partis politiques de l'opposition et des ONG algériennes ont signifié que la future Constitution doit avoir un régime semi-présidentiel. Le Parlement doit, selon eux, jouer un rôle éminent dans le contrôle de l'exécutif.La dernière sortie de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) avec d'autres partis (RND, FLN et autres associations) qui incarnent le mieux cette position, la proposition de consacrer un régime semi-présidentiel renseigne que cette question crée un débat. Pour eux, les changements qui seront introduits dans la future Constitution doivent au départ préciser la nature du régime politique de la nation. Le mieux indiqué est celui d'un régime semi-présidentiel avec la désignation d'un Premier ministre par la majorité parlementaire.Le système semi-présidentiel où le rôle dévolu au chef de l'Etat doit se faire avec un partage des prérogatives avec le Parlement. Cette vision ne conforte pas selon les juristes ni le parlementarisme ni un régime présidentiel absolu où tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains du président de la République.Mais selon une source, les parties favorables à cette initiative ne sont pas nombreux. Toutefois ils constituent un nouveau front qui politiquement parlant ne sont pas contre le fait que le président soit élu sur la base d'un suffrage universel et élu par le peuple dans le cadre d'une élection. Ils arguent que le Parlement doit figurer comme un contre-poids institutionnel dont la mission essentielle est de contrôler l'exécutif du gouvernement.Le camp de l'opposition de la CNLTD qui a boycotté les consultations sur la révision de la Constitution ne fait aucun commentaire sur cette initiative. Les animateurs de la coordination n'ont pas discuté ce point du fait qu'ils n'acceptent pas de cautionner le nouveau chantier de la réforme constitutionnelle.Ce qui fait que la plupart des opposants ne se considèrent pas dans ce débat, mais soulignent que l'alternance au pouvoir et la garantie de séparation des pouvoirs législatifs et exécutifs sont les axes irréversibles des propositions qu'ils ont élaborées et soutenues. Il faut noter dans ce sens que ces axes ont été retenus dans la clôture des consultations entamées par Ouyahia. Le changement promis concerne même la nature du pouvoir politique à spécifier et la promesse allant vers l'élargissement du pouvoir législatif en confortant un Parlement de poids.De même que ceux qui plaident pour un régime semi-présidentiel n'omettent pas de signaler l'indépendance du corps de la justice comme élément indispensable dans le changement prévu du pouvoir judiciaire. L'un des amendements proposés le prévoit justement. Les analystes de la scène politique estiment que l'Algérie sera en mesure d'adopter cette démarche, à condition d'obtenir une majorité consensuelle de la classe politique et non pas une imposition d'en haut. Ce qui permettra de régler certaines contraintes en faisant évoluer le pays sur le plan politique.La dernière sortie de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) avec d'autres partis (RND, FLN et autres associations) qui incarnent le mieux cette position, la proposition de consacrer un régime semi-présidentiel renseigne que cette question crée un débat. Pour eux, les changements qui seront introduits dans la future Constitution doivent au départ préciser la nature du régime politique de la nation. Le mieux indiqué est celui d'un régime semi-présidentiel avec la désignation d'un Premier ministre par la majorité parlementaire.Le système semi-présidentiel où le rôle dévolu au chef de l'Etat doit se faire avec un partage des prérogatives avec le Parlement. Cette vision ne conforte pas selon les juristes ni le parlementarisme ni un régime présidentiel absolu où tous les pouvoirs sont concentrés entre les mains du président de la République.Mais selon une source, les parties favorables à cette initiative ne sont pas nombreux. Toutefois ils constituent un nouveau front qui politiquement parlant ne sont pas contre le fait que le président soit élu sur la base d'un suffrage universel et élu par le peuple dans le cadre d'une élection. Ils arguent que le Parlement doit figurer comme un contre-poids institutionnel dont la mission essentielle est de contrôler l'exécutif du gouvernement.Le camp de l'opposition de la CNLTD qui a boycotté les consultations sur la révision de la Constitution ne fait aucun commentaire sur cette initiative. Les animateurs de la coordination n'ont pas discuté ce point du fait qu'ils n'acceptent pas de cautionner le nouveau chantier de la réforme constitutionnelle.Ce qui fait que la plupart des opposants ne se considèrent pas dans ce débat, mais soulignent que l'alternance au pouvoir et la garantie de séparation des pouvoirs législatifs et exécutifs sont les axes irréversibles des propositions qu'ils ont élaborées et soutenues. Il faut noter dans ce sens que ces axes ont été retenus dans la clôture des consultations entamées par Ouyahia. Le changement promis concerne même la nature du pouvoir politique à spécifier et la promesse allant vers l'élargissement du pouvoir législatif en confortant un Parlement de poids.De même que ceux qui plaident pour un régime semi-présidentiel n'omettent pas de signaler l'indépendance du corps de la justice comme élément indispensable dans le changement prévu du pouvoir judiciaire. L'un des amendements proposés le prévoit justement. Les analystes de la scène politique estiment que l'Algérie sera en mesure d'adopter cette démarche, à condition d'obtenir une majorité consensuelle de la classe politique et non pas une imposition d'en haut. Ce qui permettra de régler certaines contraintes en faisant évoluer le pays sur le plan politique.





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