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Entre cherté de la vie et Covid-19



À quelques jours du mois sacré de Ramadhan, il n'y a pas foule à Charaâ Etataoua, à la cité Khala...Ces endroits de la ville du 8 Mai 1945 proposent des produits tous azimuts, condiments et épices nécessaires à la préparation de mets typiques de ce mois.
Cette année, c'est loin d'être la bousculade. Les personnes interrogées sur les lieux sont sceptiques. «Tous les produits sont disponibles, parfois en abondance, mais hors de prix», déclare un retraité.
Le manque d'engouement est constaté. Les consommateurs réfléchissent à deux fois avant d'acheter. Le couffin est loin d'être rempli, juste quelques légumes pour tenir les premiers jours du jeûne, en attendant des jours meilleurs.
Quant aux retardataires, ils se précipiteront sur les étals en provoquant sans nul doute une bousculade, qui, faut-il le rappeler, n'est guère de mise par ces temps de coronavirus.
La prudence et le respect des gestes barrières ne doivent en aucun cas être négligés, pour un carême sans risque !
Noureddine Guergour
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