Algérie - Revue de Presse

En marge du Festival international du film arabe



Soirée de fête au théâtre de verdure «Hasni Chekroun» En marge du Festival international du film arabe, les participants étaient conviés, vendredi, à un moment de détente au cours d’une soirée musicale au Théâtre de verdure Hasni Chekroun. Le concert sera réservé aux hôtes du festival et à un public d’invités. Une importante délégation, menée par le président du festival, Hamraoui Habib Chawki et comprenant les membres des jurys long et court métrage, les artistes honorés par le festival et les représentants de la presse étrangère et nationale et un groupe d’élèves de l’école Alhan Oua Chabab, devait assister au concert animé par Zahouania, Abdou Driassa et Mohamed Lamine. Pour l’occasion, la scène du Théâtre de verdure sera entièrement transformée par l’imposant décor avec un écran central qui diffusera de temps à autre des images en direct du concert. C’est à Zahouania que reviendra l’honneur d’inaugurer le concert et de chauffer l’atmosphère. Elle réussira aisément à faire succomber le public. Dès les premières notes de musique, l’arène du Théâtre de verdure s’enflammera à la voix chaude de la diva du raï, qui réussira en quatre chansons à créer l’osmose. Au fil des chansons, les festivaliers se laisseront spontanément entraîner par les rythmes impétueux et envoûtants de l’orchestre conduit par Dahane. On verra, au premier rang, Hamraoui Habib Chawki, Mouna Wassef ou Mahmoud Abdelaziz, Dorid Leham ou Ilham Chahine, manifestement séduits par les mélodies du raï, accompagner les chansons en scandant les rythmes syncopés par des battements de mains ou par des hochements de tête. Quelques rangées derrière, de nombreux déplaceront les chaises pour improviser rapidement un espace de danse et se laisser aller au défoulement. Même le président du festival y sera convié pour s’abandonner à quelques pas de danse au milieu des youyous. Le tour de chant de Abdou Driassa produira le même effet sur le public. Dans un registre différent, l’artiste charmera l’assistance en entamant des airs célèbres qu’avait créé son père, à l’instar de «El Goumri» ou «Nedjma Kotbia» que le public reprendra en chœur. Troisième artiste à passer sur scène, Mohamed Lamine clôturera le concert par un florilège de chansons qui ajouteront à l’emballement d’un public déjà conquis.   G. Morad


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