Algérie

Deux questions au DG du FMI



« La réduction de la dette publique est un besoin » Vous vous intéressez à la fiscalité des pays membres du FMI. Quel est votre point de vue justement sur la fiscalité pétrolière en Algérie, dont le niveau de 19 dollars le prix du baril a servi de base de référence à l?élaboration des dernières lois de finances. Est-ce bien le FMI qui a conseillé l?Algérie à ce propos ? Nous étudions la question du pétrole dans tous les pays et pas spécialement dans les pays producteurs. L?avis du Fonds monétaire international (FMI) affirme que le pays (le consommateur, c?est-à-dire l?usine et les ménages) doit être conscient de la valeur du pétrole. Je pense que cela doit être accompagné de mesures sociales directes qui ne sont pas des subsides, mais qui sont directes pour les familles aux faibles ressources. Quelles sont vos remarques sur la gestion du Fonds de régulation des recettes, puisqu?une délégation du FMI, dans son dernier rapport, y avait fait allusion tout récemment à Alger et demandé à ce qu?il y ait plus de transparence ? S?agissant de la transparence des ressources pétrolières, on a conseillé tous les pays producteurs de pétrole d?avancer dans la transparence de l?utilisation des ressources qui permet au pays de réduire sa vulnérabilité. Dans le cas de l?Algérie, il est clair que la réduction de la dette publique est un besoin pour rendre le pays plus fort et garantir une croissance plus soutenue au futur.



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