Déception totale

La participation de la sélection algérienne de handball de dames au Championnat d'Afrique des Nations 2016 en Angola, a été une déception totale, ont estimé les spécialistes en la matière.La participation de la sélection algérienne de handball de dames au Championnat d'Afrique des Nations 2016 en Angola, a été une déception totale, ont estimé les spécialistes en la matière.La sélection algérienne de handball de dames s'est contentée d'une simple figuration en terre angolaise. Les camarades de Nabila Tizi n'ont gagné aucune victoire lors de cette édition. Comme il fallait s'y attendre, le miracle n'a pas eu lieu pour une équipe algérienne totalement remaniée.Les responsables de la petite balle algérienne représentés en Angola par le vice-président de la Fédération algérienne de handball, Amrane Stamboli, savaient que leur équipe n'aura pas la mission faciledevant les ténors africains, à l'image de la Tunisie (championne d'Afrique en titre), l'Angola (pays hôte) et autres.Il faut rappeler que la quasitotalité des joueuses participent pour la toute première fois à une compétition internationale d'envergure. Et puis l'équipe n'a effectué que deux mini-stages l'un au Portugal et l'autre en France. Une préparation jugée insuffisante par tout le monde.L'entraîneur Guernane Zoheïr avoue qu'il n'était pas surpris de cet échec en vue des conditions dans lesquelles a été construite cette équipe."On s'attendait tous à ce parcours. Cela ne constitue à aucun moment une surprise pour nous. Notre participation était beaucoup plus pour permettre aux joueuses d'acquérir une certaine expérience en affrontant les meilleures équipes du continent. Mis à part quelques éléments qui possèdent une petite expérience, la plupart participent pour la toute première fois. C'est une étape importante pour les prochaines échéances", a indiqué le technicien Guernane Zoheir à la Radio nationale.La sélection algérienne enregistre à cette occasion cinq défaites de suite, face respectivement au Congo (19-25), la Guinée (17-24) et la Tunisie (21-27) lors du premier tour, l'Angola (42-19) en match des quarts de final et le Congo lors du match du classement pour les 5e et 6e places (27-31).Des scores qui résument clairement la physionomie des rencontres. L'écart fut large entre la sélection algérienne et ses adversaires. Les résultats sont extrêmement négatifs pour une discipline qui, pourtant, a gagné sa place chez les Algériens. Après avoir terminé au pied du podium lors de la dernière édition disputée en 2014 à Alger et remportée par la Tunisie, le Sept national termine dernier au tableau.L'arrivée de l'entraîneur franco-serbe Semir Zuzo n'a rien apporté de plus sur le plan technique, confirment à l'unanimité les spécialistes en la matière. Cet entraîneur n'a rien pu faire dans ce court laps de temps et sa présence dans le staff technique à quelques jours du début de la compétition a surpris tout le monde, dont l'entraîneur Guernane."Je ne compte pas me taire. Il y a des vérités que je vais divulguer à notre retour au pays", a-t-il confié à la Radio nationale. Cependant, un dur labeur attend les responsables du handball national. Le chemin à parcourir se présente long et semé d'embûches.La sélection algérienne de handball de dames s'est contentée d'une simple figuration en terre angolaise. Les camarades de Nabila Tizi n'ont gagné aucune victoire lors de cette édition. Comme il fallait s'y attendre, le miracle n'a pas eu lieu pour une équipe algérienne totalement remaniée.Les responsables de la petite balle algérienne représentés en Angola par le vice-président de la Fédération algérienne de handball, Amrane Stamboli, savaient que leur équipe n'aura pas la mission faciledevant les ténors africains, à l'image de la Tunisie (championne d'Afrique en titre), l'Angola (pays hôte) et autres.Il faut rappeler que la quasitotalité des joueuses participent pour la toute première fois à une compétition internationale d'envergure. Et puis l'équipe n'a effectué que deux mini-stages l'un au Portugal et l'autre en France. Une préparation jugée insuffisante par tout le monde.L'entraîneur Guernane Zoheïr avoue qu'il n'était pas surpris de cet échec en vue des conditions dans lesquelles a été construite cette équipe."On s'attendait tous à ce parcours. Cela ne constitue à aucun moment une surprise pour nous. Notre participation était beaucoup plus pour permettre aux joueuses d'acquérir une certaine expérience en affrontant les meilleures équipes du continent. Mis à part quelques éléments qui possèdent une petite expérience, la plupart participent pour la toute première fois. C'est une étape importante pour les prochaines échéances", a indiqué le technicien Guernane Zoheir à la Radio nationale.La sélection algérienne enregistre à cette occasion cinq défaites de suite, face respectivement au Congo (19-25), la Guinée (17-24) et la Tunisie (21-27) lors du premier tour, l'Angola (42-19) en match des quarts de final et le Congo lors du match du classement pour les 5e et 6e places (27-31).Des scores qui résument clairement la physionomie des rencontres. L'écart fut large entre la sélection algérienne et ses adversaires. Les résultats sont extrêmement négatifs pour une discipline qui, pourtant, a gagné sa place chez les Algériens. Après avoir terminé au pied du podium lors de la dernière édition disputée en 2014 à Alger et remportée par la Tunisie, le Sept national termine dernier au tableau.L'arrivée de l'entraîneur franco-serbe Semir Zuzo n'a rien apporté de plus sur le plan technique, confirment à l'unanimité les spécialistes en la matière. Cet entraîneur n'a rien pu faire dans ce court laps de temps et sa présence dans le staff technique à quelques jours du début de la compétition a surpris tout le monde, dont l'entraîneur Guernane."Je ne compte pas me taire. Il y a des vérités que je vais divulguer à notre retour au pays", a-t-il confié à la Radio nationale. Cependant, un dur labeur attend les responsables du handball national. Le chemin à parcourir se présente long et semé d'embûches.