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Courts métrages : un deuxième prix pour Amine Sidi Boumediène Culture : les autres articles


Courts métrages : un deuxième prix pour Amine Sidi Boumediène                                    Culture : les autres articles
Al Jazira, de l'Algérien Amine Sidi Boumediène, a obtenu le Wihr d'or pour le meilleur court métrage au 6e Festival d'Oran du film arabe qui s'est achevé le 22 décembre.
Ce court métrage, d'une trentaine de minutes, a déjà décroché le prix du Meilleur film arabe au dernier Festival international du film d'Abu Dhabi en octobre dernier. Le jury du court métrage, présidé par le jeune cinéaste algérien Mounès Khamar, a attribué son prix spécial pour le Marocain Fadil Chouika pour La main gauche. Le même jury, composé également du critique marocain Ahmed Boughaba, de la cinéaste palestinienne Boutheïna Cannan Khoury et de l'ancien directeur de la Cinémathèque d'Oran El Hadj Bensalah, a donné une mention spéciale pour Berd yanaïr (Froid de janvier), de l'Egyptien Romany Saâd, Quand ils dorment, de la Marocaine Myriam Touzani et Le hublot, de l'Algérien Anis Djaâd.
«La sélection des courts métrages de cette année nous a facilité la tâche dans la mesure où il y avait un décalage de niveau. Nous avons choisi les meilleurs films. Pour les prochaines éditions du festival, la sélection doit être plus exigeante. Al Jazira évoque un sujet universel, celui de l'inversement de l'émigration. Il s'est éloigné des thèmes classiques qu'on retrouve dans le cinéma arabe. Ce sujet universel est traité à partir du local, la ville d'Alger. Techniquement, Al Jazira est un film bien fait», a déclaré Mounès Khamar, après la cérémonie de clôture. Le prix du public du Meilleur documentaire est allé à Préhistoire de la Tunisie, du Tunisien Hamdi Ben Ahmed.
Un hommage a été rendu lors de la cérémonie de clôture au réalisateur algérien Mustapha Benharath et aux acteurs égyptiens Ahmed Rateb et Nadia Lotfi. La soirée de clôture a été animée par l'Orchestre symphonique national et sa chorale, sous la houlette du maestro syrien Missak Baghboudarian.


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