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Je suis une jeune fille de 23 ans, j'ai fini mes études et je travaille maintenant. J'ai fait un rêve il y a 3 jours.On était nombreux, je ne me rappelle plus tout le monde, mais il y avait mes parents et moi, nous étions dans notre ancienne maison et je ne sais plus pour quelle raison mais nous avons déterré mon arrière-grand-mère (la grand-mère de ma mère) morte il y a environ 7 ans et l'avons mise à l'entrée du salon. Elle était enroulée dans un drap plein de terre et, d'un coup, le drap s'est mis à bouger au niveau de la bouche, parce qu'elle était sur le point de parler, je ne me rappelle plus tout ce qu'elle a dit, mais elle parlait en kabyle et elle a dit "akhzou echitane". Je ne sais pas comment on le dit en français, mais du genre "renier le diable". On s'est tous enfuis du salon, mais ma mère m'a rattrapée en m'ordonnant de retourner au salon et de lui lire sourate El-Falaq. J'étais morte de peur, mais ma mère m'a obligée à y retourner. Je l'ai fait, mais ma grand-mère est devenue plus forte et m'attaquait, je continuais à réciter la sourate jusqu'à ce qu'elle tombe, on l'a alors ramenée au salon. Je ne sais plus comment, mais d'un coup, c'est mon père qui s'est senti très mal. On l'a allongé dans le hall, on a appelé le fils du voisin pour nous aider, ma mère et moi, à le maintenir au sol. Il était torse nu et là je me suis mise à réciter sourate El-Falaq à nouveau. Mon père s'est alors levé et s'est dirigé vers moi pour m'étrangler. Je continue à la réciter, c'était magnifiquement bien récité, comme si c'était un imam qui le faisait et en même temps je supplie ma mère du regard pour le retenir pour qu'il ne m'étrangle pas. Elle n'a pas bougé. Je me suis réveillée à ce moment-là.Pour être plus précise, cette nuit-là avant de dormir je n'ai parlé ni de mon arrière-grand-mère ni de rien qui soit en relation avec le rêve et je n'ai jamais rêvé d'elle. J'ai fait un rêve trois jours avant sa mort et plus rien depuis.RéponseVotre rêve est effrayant, il signifie qu'il ne faudra surtout pas déterrer de vieilles histoires de famille, de peur que les choses dégénèrent. Vous voilà avertie.NomAdresse email


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