Algérie - A la une

Corniche supérieure : Les automobilistes réclament l'éclairage public




Corniche supérieure : Les automobilistes réclament l'éclairage public
La joie des automobilistes qui empruntent la corniche supérieure aura été de courte durée. Ces derniers avaient accueilli avec un grand bonheur l'ouverture de ce tronçon routier qui relie Oran à Aïn El Turck, ils pensaient alors que leurs soucis liés aux longues heures d'embouteillage allaient s'évaporer.Mais voilà qu'ils se sont rapidement heurtés à un autre problème et pas des moindres : l'absence d'éclairage sur ce tronçon ouvert depuis plus de quatre ans. Aucun poteau électrique d'éclairage n'a été installé sur tout le trajet. Cette situation rend tout déplacement périlleux de nuit. Les automobilistes craignent, entre autres, les agressions en cas de panne ou carrément que la route soit coupée par des obstacles, des animaux telles que les vaches qui sortent paître toutes seules de la ferme qui se trouve toute près de l'intersection qui mène vers Aïn El Turck, à gauche, ou Mers El Kébir, à droite.Notons aussi qu'en période estivale, une prolifération alarmante de chiens errants et de sangliers est observée sur cette route. Aussi, les automobilistes demandent aux autorités locales de se pencher sérieusement sur cette situation qui pourrait être dramatique, surtout que beaucoup d'estivants empruntent de plus en plus la corniche supérieure pour éviter les embouteillages aux point noirs de la corniche inférieure, notamment à Mers El Kébir, au point dit l'«Escargot», près de Saint Clothilde, ou encore près de Saint Rock.Les autorités locales pourraient mettre en place des équipements d'éclairage fonctionnant à l'énergie solaire et dont le coût de revient est relativement moins cher qu'un projet d'éclairage public standard qui demande du temps et de l'argent et des moyens considérables. Une autre solution existe et consiste à impliquer les différents opérateurs économiques dans le développement local par une contribution à l'amélioration du cadre de vie du citoyen, comme cela s'est déjà fait ailleurs en Algérie.





Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)