Il y a 80 années, l'URSS jouait un jeu trouble avec l'Allemagne nazie, l'Amérique se repliait sur elle-même, l'Europe détournait ses yeux et l'Angleterre faisait cavalier seul. On connaît la suite.Assurément, Erdogan n'est pas Hitler. Nous n'irons pas jusque-là. Mais il a un grand boulevard devant lui pour dominer la Méditerranée et plus si affinités. La Russie joue à «je t'aime, moi non plus !» Les Etats-Unis l'utilisent contre... la Russie, l'Europe, à trop adorer l'argent, n'a plus de stratégie militaire et l'Angleterre fait toujours cavalier seul.
Et cette fois, si ça recommence, ce sera tout près de chez nous...
M. F.
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Posté Le : 28/07/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Maâmar Farah
Source : www.lesoirdalgerie.com