On croyait que l'esclavage avait disparu en Algérie alors que les dispositifs même d'aide à l'emploi génèrent parfois des situations kafkaïennes qui y ressemblent en tous points de vue.Jugeons-en : Mme B. Z. M. est une femme de ménage, employée à la polyclinique de Bou-Ismaïl dans le cadre de l'emploi des jeunes, et ce, depuis... 1995. Non seulement dix-neuf ans après, l'Etat n'a toujours pas été en mesure de procurer un vrai poste d'emploi à cette mère de famille qui aura passé ainsi plus de la moitié de sa vie en emploi des jeunes, mais celle-ci est, en outre, obligée d'être présente sur les lieux de travail de 8h à 16h, et cela, contre un pécule qui ne dépasse pas... 5 450 DA.NomAdresse email
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Posté Le : 20/04/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Rubrique Radar
Source : www.liberte-algerie.com