Après une relative accalmie, due à la décision du ministère des Travaux publics de reprendre les choses en main, les dos-d'âne se mettent à repousser, à tort et à travers, dans les rues et les ruelles de la capitale. Mieux, dans certaines communes d'Alger, comme Draria et El-Achour, les riverains ont opté pour l'installation de dos-d'âne en béton armé, sans que les autorités ou les services de sécurité réagissent.
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Posté Le : 14/08/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Soir d'Algérie
Source : www.lesoirdalgerie.com