Brèves de Tlemcen

Imama 400 logements : les terrasses en dangerMalgré les instructions de l'OPGI de démantèlement des citernes installées sur les terrasses des immeubles, le problème existe toujours et le danger devient de plus en plus menaçant.Ces citernes abandonnées par leurs propriétaires ne répondent à aucune norme de sécurité et débordent tout le temps, d'autant plus que l'eau est pratiquement courante depuis ces dernières années.Les habitants du dernier étage du bâtiment C8, aux 400 logements, tirent la sonnette d'alarme sur les infiltrations qui leur causent des dégâts importants.Les installations électriques risquent de sauter et ce avec les conséquences que l'on imagine.Rappelons qu'une opération de démantèlement de citernes a été menée il y a quelque temps par les services techniques de l'OPGI. Aujourd'hui, c'est une urgence signalée, l'OPGI se doit d'intervenir pour remettre de l'ordre afin de préserver la sécurité des occupants et celle du parc immobilier.À propos des oranges contaminées...Ces derniers jours, des informations font état de la présence sur les étals d'oranges marocaines contaminées. Cette information est démentie par les commerçants au niveau du marché couvert : non seulement, il n'y pas d'oranges marocaines, mais en plus, c'est la saison, l'orange algérienne est disponible en grande quantité et d'une qualité qui n'a rien à envier à l'orange de Berkane.Sauf que cette information a porté un grand préjudice, en semant le doute dans les esprits du consommateur, qui hésite, même lorsqu'il s'agit de l'orange pulpeuse provenant de nos vergers, qui sont d'ailleurs bien entretenus ces dernières années.Qui se souvient de la clémentine de Misserghine !... Et du stationnement interditDans cette même rubrique nous évoquions, dernièrement, le problème des panneaux de stationnement interdits, qui ont été arrachés la nuit par des inconnus. Toutefois, une erreur de notre part s'y est glissée. L'endroit en question n'est pas l'ex-rue de France, mais il s'agit de l'ex-rue de Paris.Nous remercions ce fidèle lecteur qui a attiré notre attention pour rectifier cette erreur, quant à la placette de R'hiba, les services de sécurité sont intervenu après la publication de notre papier, mais le problème persiste, à cet endroit il faut une présence permanente d'un agent de police.