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Lutte contre la criminalité : Plus de 12 000 comprimés psychotropes saisis à Aïn NaâdjaLes services de sûreté de la wilaya d'Alger ont saisi plus de 12 000 comprimés psychotropes et un montant de 181 millions de centimes, et ce, après avoir mis un terme à une tentative d'écoulement de ces substances illicites dans la région de Aïn Naâdja, a indiqué un communiqué de cette instance sécuritaire. L'affaire a été traitée par la brigade de la circonscription centre de la police judiciaire suite à une information faisant état de l'existence d'une cargaison destinée à la distribution et au trafic dans la banlieue. Après s'être assurés de l'information ainsi que de l'identité du suspect, les éléments de police ont pris en filature le suspect au niveau du marché populaire de Aïn Naâdja, qui a été intercepté après une vaine tentative de fuite. Les éléments de la police ont procédé, par la suite, à une fouille minutieuse du véhicule, se soldant par la saisie de 12 360 comprimés psychotropes soigneusement dissimulés, et un montant de 181 millions de centimes et de deux téléphones portables, lit-t-on dans le communiqué. Après le parachèvement des procédures légales en vigueur, le mis en cause a été présenté devant les juridictions compétentes, conclut la même source.
Régularisation des constructions inachevées : L'opération fait du surplace
Le taux d'avancement dans le traitement des dossiers de régularisation des constructions inachevées n'excède pas les 10%, c'est ce que nous ont indiqué la plupart des P/APC de la capitale. Cette opération a été lancée il y a quelques années, sauf que les moyens humains et matériels pour le traitement des dossiers n'ont pas été dégagés. Par ailleurs, le prolongement des délais de dépôt des dossiers a influé négativement sur le déroulement de l'opération. «Les pouvoirs publics ont prolongé le délai de dépôt des dossiers de trois années. La plupart des gens qui n'ont pas déposé leurs dossiers avant le mois de juin de l'année passée continuent dans la même démarche», nous affirme-t-on. Si les citoyens sont responsables de cette situation, les pouvoirs publics de sont davantage, car à l'allure où les dossiers sont traités, il faudrait plusieurs années pour en venir à bout. Ceux qui ont lancé cette opération au départ n'ont apparemment pas prévu les moyens pour concrétiser cette action. Les seuls moyens des APC ne peuvent à eux seuls contenir tous le flux de dossiers.



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