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Benghebrit menace les grévistes



Benghebrit menace les grévistes
La grève décrétée par un groupement de syndicats autonomes du secteur de la Fonction publique notamment reprend aujourd'hui.La grève décrétée par un groupement de syndicats autonomes du secteur de la Fonction publique notamment reprend aujourd'hui.En effet après les deux jours de grève observée la semaine passée, les 17 et 18 octobre plus exactement, les initiateurs de ce mouvement de débrayage reviennent à la charge pour aujourd'hui lundi et demain mardi.Ce nouveau mouvement de débrayage intervient dans un contexte de tension. Les deux parties, à savoir les pouvoirs publics et les syndicats grévistes, s'en tiennent chacune à leurs positions. Autant dire que le bras de fer risque de se prolonger et de se durcir à l'avenir.D'ailleurs la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, est montée au créneau la veille de ce nouveau mouvement de protestation pour mettre en garde les syndicats . Intervenant hier lors d'une rencontre organisée hier au siège de son département ministériel ; la ministre , de plus en pus inflexible, a indiqué sa volonté de recourir à la retenue sur salaire pour les enseignants grévistes.Cette ponction sur salaire sera applicable à partir du mois de novembre a indiqué la ministre. Une annonce qui ne va certainement pas faire reculer les syndicats qui semblent plus que jamais décidés à aller jusqu'au bout de leur démarche et ce tant que les pouvoirs publics ne répondent pas favorablement à leurs revendications.Les syndicats, habitués à ces mesures de rétorsion de la part des pouvoirs publics, sont d'ores et déjà mobilisés pour la réussite de ce mouvement de grève. Dans leurs déclarations les leaders syndicaux promettent une plus grande mobilisation de la part des travailleurs et fonctionnaires et ce pour faire certainement mieux que lors des deux jours de grève des 17 et 18 octobre derniers.Durant ces deux jours de débrayage le taux de suivi n'a pas atteint les plus hauts pics. En effet, malgré les affirmations du groupement des syndicats autonomes selon lesquelles la grève a été une grande réussite par le taux élevé de mobilisation des travailleurs et fonctionnaires qui ont répondu favorablement à l'appel, d'aucuns ont remarqué le contraire. En somme l'adhésion au mouvement de protestation n'a pas atteint les proportions attendues.D'ailleurs une guerre de chiffres a opposé les syndicats et les pouvoirs publics. Ces derniers ont avancés des chiffres très bas sur le taux de suivi contrairement aux syndicats qui parlaient de 70 à 80% de taux de suivi de la grève. Mais qu'a cela ne tienne cette bataille de chiffres a toujours eu lieu dès lors qu'il a grève.Le bras de fer entre les deux parties ne va pas s'estomper de sitôt. Ce d'autant que les pouvoirs publics semblent inflexibles. " Nous n'allons pas faire marche arrière" n'a cessé de marteler le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi dans ses déclarations.En somme pour le gouvernement il est hors de question de maintenir la retraite anticipée en vigueur depuis les années 90 et qui ne sera plus de mise à partir du 1er janvier 2017 conformément au projet de loi qui est au niveau de l'APN actuellement.C'est cette annulation de la retraite anticipée, décidée pour rappel lors de la réunion tripartite gouvernement, patronat, UGTA, qui a mis le feu aux poudres et poussé les syndicats a initier cette grève reconductible de deux jours.En plus de cette question de l'annulation de la retraite anticipée qui a fait couler beaucoup d'encre et suscité une levée de boucliers des milieux syndicaux et même politiques, les syndicats autonomes revendiquent aussi l'association des syndicats autonomes dans l'élaboration de la nouvelle loi du travail en chantier depuis de longues années ainsi que la protection du pouvoir d'achat des travailleurs et des fonctionnaires. Pour rappel c'est un groupement de 17 syndicats autonomes qui est à l'origine de ce mouvement de grève.En effet après les deux jours de grève observée la semaine passée, les 17 et 18 octobre plus exactement, les initiateurs de ce mouvement de débrayage reviennent à la charge pour aujourd'hui lundi et demain mardi.Ce nouveau mouvement de débrayage intervient dans un contexte de tension. Les deux parties, à savoir les pouvoirs publics et les syndicats grévistes, s'en tiennent chacune à leurs positions. Autant dire que le bras de fer risque de se prolonger et de se durcir à l'avenir.D'ailleurs la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, est montée au créneau la veille de ce nouveau mouvement de protestation pour mettre en garde les syndicats . Intervenant hier lors d'une rencontre organisée hier au siège de son département ministériel ; la ministre , de plus en pus inflexible, a indiqué sa volonté de recourir à la retenue sur salaire pour les enseignants grévistes.Cette ponction sur salaire sera applicable à partir du mois de novembre a indiqué la ministre. Une annonce qui ne va certainement pas faire reculer les syndicats qui semblent plus que jamais décidés à aller jusqu'au bout de leur démarche et ce tant que les pouvoirs publics ne répondent pas favorablement à leurs revendications.Les syndicats, habitués à ces mesures de rétorsion de la part des pouvoirs publics, sont d'ores et déjà mobilisés pour la réussite de ce mouvement de grève. Dans leurs déclarations les leaders syndicaux promettent une plus grande mobilisation de la part des travailleurs et fonctionnaires et ce pour faire certainement mieux que lors des deux jours de grève des 17 et 18 octobre derniers.Durant ces deux jours de débrayage le taux de suivi n'a pas atteint les plus hauts pics. En effet, malgré les affirmations du groupement des syndicats autonomes selon lesquelles la grève a été une grande réussite par le taux élevé de mobilisation des travailleurs et fonctionnaires qui ont répondu favorablement à l'appel, d'aucuns ont remarqué le contraire. En somme l'adhésion au mouvement de protestation n'a pas atteint les proportions attendues.D'ailleurs une guerre de chiffres a opposé les syndicats et les pouvoirs publics. Ces derniers ont avancés des chiffres très bas sur le taux de suivi contrairement aux syndicats qui parlaient de 70 à 80% de taux de suivi de la grève. Mais qu'a cela ne tienne cette bataille de chiffres a toujours eu lieu dès lors qu'il a grève.Le bras de fer entre les deux parties ne va pas s'estomper de sitôt. Ce d'autant que les pouvoirs publics semblent inflexibles. " Nous n'allons pas faire marche arrière" n'a cessé de marteler le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi dans ses déclarations.En somme pour le gouvernement il est hors de question de maintenir la retraite anticipée en vigueur depuis les années 90 et qui ne sera plus de mise à partir du 1er janvier 2017 conformément au projet de loi qui est au niveau de l'APN actuellement.C'est cette annulation de la retraite anticipée, décidée pour rappel lors de la réunion tripartite gouvernement, patronat, UGTA, qui a mis le feu aux poudres et poussé les syndicats a initier cette grève reconductible de deux jours.En plus de cette question de l'annulation de la retraite anticipée qui a fait couler beaucoup d'encre et suscité une levée de boucliers des milieux syndicaux et même politiques, les syndicats autonomes revendiquent aussi l'association des syndicats autonomes dans l'élaboration de la nouvelle loi du travail en chantier depuis de longues années ainsi que la protection du pouvoir d'achat des travailleurs et des fonctionnaires. Pour rappel c'est un groupement de 17 syndicats autonomes qui est à l'origine de ce mouvement de grève.


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