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Autres temps, autres m'urs


Autres temps, autres m'urs
Entre les années 1970 et 1980, la crise de l'eau potable était un vocable inconnu dans le jargon des riverains.C'était la belle période des puits domestiques où l'eau coulait à flots dans chaque foyer. Les fontaines publiques étaient l'autre aspect de la richesse de ce précieux liquide.Chelghoum Laïd d'autrefois était un petit village de quelques milliers d'habitants seulement. A chaque coin de rue, il y avait pratiquement une fontaine aménagée à l'aide d'un robinet, qui permettait aux passants et aux habitants de s'abreuvoir.Le produit des robinets disposés un peu partout est exceptionnellement frais en été et doux en hiver. Durant la période des grandes chaleurs, des dizaines de voyageurs y marquaient un temps d'arrêt pour se rafraichir et remplir leurs ustensiles. Le square du village est l'autre attraction des habitants. Ce dernier comptait, à lui seul, pas moins de trois à quatre fontaines. Un véritable point de chute d'eau qui permettait aux villageois de se détendre dans le cadre agréable de verdure et de fraicheur.De nos jours, époque des grands barrages, les crises inopinées de l'eau potable se suivent et se succèdent au grand désarroi des ménagères. Pourtant, le précieux liquide est disponible à flots. Allez y comprendre quelque chose à cet imbroglio.




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