ASM Oran

«El-Djemïa» a du mal à suivre Un zéro à deux concédé dernièrement qui montre les limites d’une équipe « asémiste « positionnée à la sixième place. Vendredi prochain l’ASMO rencontrera dans un derby le « Sariî « de Mohammadia qui n’est d’ailleurs pas le comparse de la saison écoulée. Si dans l’entourage des « vert et blanc « on ne désespère de les voir rééditer le succès de l’exercice précédent, une autre contre-performance pourrait leur valoir une glissade au milieu du classement et le deuil de leur ambition même s’il est trop tôt pour prévoir ce que sera la suite de la compétition. L’ASM Oran qui a démontré au cours de l’empoignade de Batna contre le CAB que jouer à l’extérieur est synonyme de défaite. Elle vient de perdre huit points avec deux défaites face à l’ESM et le CAB et un partage des points à domicile avec l’OMR. Car cet affront subi contre les Batnéens qui nourrissent des ambitions malgré leur situation actuelle au classement 10ème, fait suite à des productions de faible niveau malgré la victoire contre la JSM Skika, ce qui dénote surtout que les asémistes sont incapables d’imposer leur jeu, la manière de procéder essentiellement après le départ de l’entraîneur Bendoukha. Certes, les gars de M’Dina J’Dida ont été souvent lésés par l’arbitrage ce qui explique le nombre de joueurs sanctionnés, en plus de l’indisponibilité de certains éléments clé de l’équipe, mais ce ne sont nullement les raisons primordiales qui ont engendré une telle situation et la dégringolade inattendue de la première à la sixième place au classement. D’autres paramètres sont entrés en jeu et qui influent négativement sur le rendement d’ensemble des «Vert et blanc».   Bourzag nouvel entraîneur Après l’échec des négociations avec le Portugais Matudeira et Cherif El Ouazzani, les dirigeants asémistes ont jetés leur dévolu sur l’ex entraîneur de l’OMR El-Anassers, Bourzag Wahib. Ce dernier et selon le manager du club, M. Benamar prendra ses fonctions dès aujourd’hui et dirigera la séance d’entraînement matinale prévue au stade «Habib Bouakeul».   B. Louacini