Algérie - Investissements et partenariat

Après le FM la banque Mondiale rassure PIB algérien: le plus élevé dans la région du Ména



Après le FM la banque Mondiale rassure PIB algérien: le plus élevé dans la région du Ména
réalisé d'importants progrès économiques ces dernières années, une augmentation du niveau de vie et l'amélioration de ses infrastructures''. L’institution de Bretton Woods, vient de signifier dans son rapport à l’instar d’autres pays producteurs de pétrole, que ''l'Algérie doit relever le défi de diversifier son économie, en termes d'exportations hors hydrocarbures en particulier'' et précise notamment que le PIB de l’Algérie par habitant (4.400 dollars en 2010) est l'un des plus élevés dans les pays de la région MENA hors-Conseil de coopération du Golfe (CCG)''. Selon cette institution, l'Algérie est en bonne position pour réaliser ses considérables potentialités économiques, mais doit relever le défi de diversifier son économie, indique la Banque mondiale dans le document portant sur le nouveau dispositif de coopération 2011-2014. A l’évidence, son principal défi politique pour les prochaines années reste, donc, celui de la diversification de son économie, l'amélioration de la productivité et la forte création d'emplois reposant sur un nouveau modèle de croissance qui doit être plus à l'abri de la volatilité des prix du pétrole''. L'Algérie est, aujourd'hui, en bonne position note le document pour réaliser ses considérables potentialités économiques, tenir un rôle stratégique dans la région et contribuer à l'intégration économique entre l'Afrique du Nord, l’Europe et l’Afrique subsaharienne’’, affirme-t-elle dans sa présentation du Cadre de Partenariat Stratégique (CPS).''Les progrès réalisés au cours des dernières décennies dans le développement humain et les infrastructures, et ses stocks importants en ressources énergétiques et minières fournissent des bases solides pour réaliser ce potentiel et permettent un développement économique plus fort et plus diversifié'', soutient-elle. ''Au cours des dix dernières années, l'Algérie a eu une croissance soutenue et a amélioré l'équité sociale par d’ambitieux programmes d'investissements publics'', note la BM dans son évaluation jugée positive par les milieux financiers en Algérie. ''Après deux décennies de stagnation économique en conséquence de la crise des prix de pétrole dans les années 1980 et l'instabilité politique, cette tendance a été inversée durant ces dernières années'', affirme-t-elle. ''Le processus de réconciliation nationale et l’augmentation des prix du pétrole ont permis au pays de retrouver sa stabilité tandis que le gouvernement a commencé à appliquer une série de grands programmes d'investissements publics en matières d’infrastructures, d’habitat et de développement social'', poursuit la BM. Ces programmes ont été ''accompagnés par des politiques d'ouverture au commerce et à l'investissement privé, en s'appuyant sur d'importantes réformes entamées dans les années 1990'', tout en observant que le gouvernement a engagé par la suite, une série de politiques économiques visant à réduire la dépendance du pays des importations et à soutenir les acteurs économiques locaux, inversant l'action d'ouverture du commerce et des investissements engagée auparavant. ''La rapide croissance économique enregistrée au cours des dix dernières années a été alimentée par la combinaison d'une gestion macroéconomique prudente et l’augmentation des recettes des hydrocarbures'', note la Banque mondiale. Pour la BM, ''la politique active des dépenses centrée sur l'augmentation des investissements publics, l'amélioration des services sociaux et l'aide aux personnes défavorisées, a entraîné une réduction du chômage et de la pauvreté''. ''Cette politique budgétaire combinée avec une dette extérieure faible et une gestion économique prudente, ont permis à l'Algérie de résister à l'impact de la récente crise mondiale, en dépit de la baisse des recettes des hydrocarbures''. ‘’Le rythme rapide de croissance économique hors-hydrocarbures a continué en 2009 et, malgré la forte baisse de la balance courante (en 2009) pendant la crise, la position externe est restée forte avec des réserves de change équivalant à environ 3 ans d'importations’’, note le document


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