A Aïn Defla, pour des raisons sécuritaires, les autorités ont multiplié les «dos-d'âne administratifs» pour l'accès aux engrais. La pénurie créant la demande, des réseaux s'installent pour y répondre sur le marché parallèle et l'administration réplique par une aggravation des procédures. Le fellah doit désormais s'offrir les services d'un huissier de justice et prévoir deux bienveillantes personnes pour témoigner que le champ qu'il cultive est bien sa propriété !
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Posté Le : 21/02/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Abed Charef
Source : www.lequotidien-oran.com