Algérie

Alger en bref Alger : les autres articles




Alger en bref                                    Alger : les autres articles
-Tramway : les resquilleurs envahissent les rames
Les resquilleurs du tramway sont légion. Certains voyageurs indélicats ne daignent pas payer leur ticket. Le hic : aucun contrôleur à l'horizon. L'Etablissement de transport urbain et suburbain (Etusa), ne semble pas décidé à frapper un grand coup en renforçant l'effectif des contrôleurs. «Plus de 30% des usagers ne paient pas leur ticket», a relevé, dans un précédent entretien, M. Bouteba, SG du syndicat d'entreprise de l'Etusa. Le nombre de resquilleurs serait bien plus important, sans que l'ex-Régie décide de faire face avec énergie à ce phénomène.
-Métro : plus de monnaie
Les usagers du métro sont souvent obligés de rebrousser chemin. Raison : l'absence de monnaie. Les voyageurs sont confrontés à ce problème durant la nuit et à partir de 22 h. Les guichetiers disparaissent et les machines, qui sont en fonction, acceptent uniquement la petite monnaie. Les usagers, dépités, quittent carrément la station.
-Place du 2 Mai : où est la station '
L'espace attenant à l'aire de stationnement du 2 Mai (Sidi M'hamed), dégagé après l'achèvement du collecteur intercommunal (CIC) n'a pas encore été réaménagé. Pourtant, l'Etablissement de gestion de wilaya (EGCTU) a prévu, selon les propos de ses responsables, d'y délocaliser la station de bus de Tafourah. Le projet, qui n'aurait pas eu l'aval du wali d'Alger, est reporté sine die. Seule une barricade a été installée par les responsables de l'EGCTU sur la partie donnant sur le boulevard de l'ALN.
-100 locaux présidentiels : le projet abandonné
Le projet des 100 locaux à usage professionnel a été, semble-t-il, abandonné. Les hautes autorités auraient adressé des instructions aux walis, leur enjoignant d'annuler carrément ce projet qui a de la peine à démarrer. Absence de foncier, manque de commodités (électricité, gaz, AEP, etc.), bureaucratie communale, autant de problèmes qui retardent l'installation de locaux de ce projet présidentiel, lancé en 2006 dans les APC. Les postulants ne s'expliquent pas la décision des autorités. Certains voyaient dans ce projet leur seule bouée de sauvetage.
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