Algérie - A la une


Ainsi va la vie
Résumé?de la 16e partie: Hayat est dans la voiture de Salim. Elle ne cesse de multiplier les gaffes en parlant.Le jeune homme ouvrit de grands yeux stupéfaits?:- Non... non? je voulais juste vous prouver que je vous ai écoutée attentivement. C'est tout.Soudain, Hayat se rendit compte qu'elle était en compagnie de quelqu'un dont elle ne connaissait absolument rien.- Que faites vous dans la vie, Salim '- Pourquoi me posez-vous cette question '- Euh... Juste comme ça pour savoir à qui j'ai affaire.- D'après vous j'ai une tête à faire quoi dans la vie '...- Je ne sais ras...- Allez, essayez de deviner.- Non... Sincèrement... je ne sais pas...- Essayez de faire un effort ... pensez à n'importe quoi...- Vous êtes commerçant '- Vous voyez, vous y êtes presque...- Vous êtes commerçant?' C'est vrai '- Oui et non...- Oui et non '- En vérité, je suis mécanicien... mais depuis trois ans. Je possède un local de mécanique... Je ne touche plus aux moteurs et aux voitures des autres... J'ai trois mécaniciens qui s'en occupent... Moi, je ne fais que leur donner des directives et les aider de temps en temps lorsqu'ils éprouvent quelque difficulté avec une panne.- Vous avez des ouvriers qui travaillent pour vous ' fit-elle avec un émerveillement qu'elle regretta presque aussitôt.- Non... ce ne sont pas des ouvriers ... mais des mécaniciens.- Il y a une différence entre les deux '- Mais bien sûr... Le mécanicien effectue un travail réfléchi, intelligent... alors que l'ouvrier généralement ne fait que répéter des gestes machinalement... des gestes qui deviennent presque une seconde nature.La jeune fille commençait à admirer ce bel homme qui savait distinguer entre un ouvrier et un mécanicien. Elle était si fascinée par lui qu'elle ne s'aperçut pas que la voiture s'était engagée sur une piste déserte, loin de toute habitation. L'endroit idéal pour subir une agression en bonne et due forme !Le sang de Hayat ne fit qu'un tour. Son visage devint aussi pâle qu'un citron et elle poussa un second hurlement si fort que le jeune homme freina à mort.- Mais qu'est-ce qui vous prend encore '- Qu'est-ce que vous me voulez, hein ' Pourquoi vous m'avez fait passer par là, hein ' avait-elle crié tout en tentant d'ouvrir la portière.- Calmez-vous, Hayat, calmez-vous, tenta l'autre de la rassurer. Je voulais vous emmener dans un endroit tranquille où nous mangerons de délicieuses crêpes !A suivre?
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