Algérie - A la une

Afflux de malades et insécurité


Afflux de malades et insécurité
Pour aider à désengorger les services des urgences des établissements hospitaliers,actuellement dépassés par l'afflux des demandeurs de soins, le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, invite les patients à s'adresser prioritairement aux structures de proximité. Intervenant, à SétifPour aider à désengorger les services des urgences des établissements hospitaliers,actuellement dépassés par l'afflux des demandeurs de soins, le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, invite les patients à s'adresser prioritairement aux structures de proximité. Intervenant, à Sétifil considère que le système de santé pourrait connaitre un saut qualitatif en matière de prise en charge des malades, pour autant, dit-il, que les nationaux se décident à changer de comportement. Dans un reportage consacré au sujet, la Radio algérienne s'inquiète de savoir si les polycliniques sont, présentement à même de répondre à certains besoins spécifiques des patients.De l'écoute de ce dernier, il s'avère que les membres d'une structure d'urgence de la capitale se plaignent fortement de la forte pression que représentent les nombreux malades préférant s'adresser aux hôpitaux et dénoncent le comportement agressif de certains parmi eux ou leurs accompagnateurs, qu'ils accusent d'user de menaces et d'obscénités à leur encontre.Depuis fort longtemps, rappelle l'auteur du reportage, le ministère de la Santé n'a eu de cesse d'appeler les malades à recourir aux services de soins de proximité "à l'effet de diminuer la pression subie par les établissements hospitaliers".Lors d'une visite effectuée par lui à la polyclinique de Belcourt, il constate un manque criant de personnel paramédical, confirmé par une infirmière, Souad Salhi, qui se lamente de la pression "infernale" que fait subir à cette structure le nombre particulièrement élevé de patients.Faisant état d'agressions répétées à l'encontre des médecins et infirmiers, de la part de "voyous et de drogués", elle évoque également des bagarres entraînant parfois des blessures aux forcenés, "particulièrement durant la nuit". Pour la médecin-chef de cette antenne sanitaire, Lamia Yacef, il devient urgent d'améliorer la formation d'agents chargés de sécuriser les lieux, ceux actuellement en place se contentant, ditelle, d'assurer un simple "gardiennage".Approché à son tour, le chargé des urgences de la direction des services de santé d'Alger, Fouzi Bouyoucef, s'inquiète, à son tour, des agressions dont sont l'objet les personnels des polycliniques de la part de "toxicomanes". Il appelle les responsables en charge de la santé à créer les conditions permettant de diminuer les fortes tensions créées entre les personnels traitants et les malades.il considère que le système de santé pourrait connaitre un saut qualitatif en matière de prise en charge des malades, pour autant, dit-il, que les nationaux se décident à changer de comportement. Dans un reportage consacré au sujet, la Radio algérienne s'inquiète de savoir si les polycliniques sont, présentement à même de répondre à certains besoins spécifiques des patients.De l'écoute de ce dernier, il s'avère que les membres d'une structure d'urgence de la capitale se plaignent fortement de la forte pression que représentent les nombreux malades préférant s'adresser aux hôpitaux et dénoncent le comportement agressif de certains parmi eux ou leurs accompagnateurs, qu'ils accusent d'user de menaces et d'obscénités à leur encontre.Depuis fort longtemps, rappelle l'auteur du reportage, le ministère de la Santé n'a eu de cesse d'appeler les malades à recourir aux services de soins de proximité "à l'effet de diminuer la pression subie par les établissements hospitaliers".Lors d'une visite effectuée par lui à la polyclinique de Belcourt, il constate un manque criant de personnel paramédical, confirmé par une infirmière, Souad Salhi, qui se lamente de la pression "infernale" que fait subir à cette structure le nombre particulièrement élevé de patients.Faisant état d'agressions répétées à l'encontre des médecins et infirmiers, de la part de "voyous et de drogués", elle évoque également des bagarres entraînant parfois des blessures aux forcenés, "particulièrement durant la nuit". Pour la médecin-chef de cette antenne sanitaire, Lamia Yacef, il devient urgent d'améliorer la formation d'agents chargés de sécuriser les lieux, ceux actuellement en place se contentant, ditelle, d'assurer un simple "gardiennage".Approché à son tour, le chargé des urgences de la direction des services de santé d'Alger, Fouzi Bouyoucef, s'inquiète, à son tour, des agressions dont sont l'objet les personnels des polycliniques de la part de "toxicomanes". Il appelle les responsables en charge de la santé à créer les conditions permettant de diminuer les fortes tensions créées entre les personnels traitants et les malades.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)