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Actes isolés ou criminels '



Actes isolés ou criminels '
Les incendies dans les dépôts, usines et immeubles d'administrations se multiplient. Des pertes en milliards de dinars sont estimées alors que les enquêtes sont en cours. Désormais, un plan anti-incendie doit être actionné.Les incendies dans les dépôts, usines et immeubles d'administrations se multiplient. Des pertes en milliards de dinars sont estimées alors que les enquêtes sont en cours. Désormais, un plan anti-incendie doit être actionné.Depuis le début de l'été, pas une usine ou un champ de blé ou alors un immeuble abritant une administration n'a été épargné par les incendies. Il faut signaler que des usines de production font le lot d'incendies depuis le début de l'été.Celles de Condor à Bordj Bou Arreridj et de Samsung à Alger ont vu leurs dépôts de stocks complètement calcinés par le feu. Un dépôt de plastique situé à El Hamiz a également été détruit par le feu en pleine journée. Une petite entreprise de stockage de matériel informatique à l'ouest du pays a fait également les frais d'un incendie qui a laissé tous les lots en fumée.Même les sièges de certaines administrations n'ont pas été épargnés par les accidents où les feu se propage à une vitesse vertigineuse sans compter le dernier incendie feu qui a touché un porte-conteneurs à Annaba épargnant tout l'équipage qui se trouvait à bord.Il faut dire que la situation de ces actes volontaires ou involontaires commence à inquiéter au plus haut. Ces drames qui surviennent ne peuvent pas être des faits isolés ou de simples accidents causés par l'effet de la chaleur. Au point où l'on en est, il y a d'abord un véritable bilan à faire par les services concernés.Ces incendies qui font perdre à ces entreprises des milliards de dinars se répercutent par des incidences négatives sur leur trésorerie mais aussi sur l'apport qu'elles constituent pour les impôts qu'elles paient à l'Etat. En outre, les dégâts occasionnés peuvent mettre longtemps pour faire redémarrer ces unités de production qui emploient des milliers d'Algériens.Jusque-là, les enquêtes préliminaires sur ces incendies concluent précipitamment à des courts-circuits comme première cause ou parfois sur une faille dans le système de refroidissement. Or, tout indique que ces enquêtes menées par les services de sécurité ne doivent pas être hâtives et partiales.L'on sait que l'opinion publique n'est pas convaincue par ces actes répétitifs qui surviennent chaque été dans des lieux sensibles et qui visent des marques ayant choisi l'Algérie comme marché d'investissement. Les spéculations les plus folles alimentent ces faits qui ne passent pas inaperçus.Certains pointent du doigt les réseaux de l'informel qui sont derrière ces incendies provoqués afin de porter un coup aux engagements pris par l'Etat concernant le tissu productif. Cette thèse est davantage nourrie par le fait que l'Etat soit engagé contre les cartels du marché noir et les réseaux de trafiquants de toutes sortes qui se sentent gênés par les dernières mesures prises pour assainir l'économie nationale.D'autres n'y voient au contraire que ces dépôts ou usines accusent une faille dans leur système de contrôle et de surveillance des incendies. Mais pour l'heure, les représentants de ces sociétés n'ont aucunement indiqué qu'il s'agit d'une négligence humaine ou d'une baisse de vigilance sur le plan technique.C'est une hypothèse qui semble être écartée du moment que la plupart de ces entreprises doivent obligatoirement être équipées d'un système d'alarme et d'outils anti-incendies des plus performants. Surtout lorsqu'il s'agit d'une représentation d'une multinationale ou d'un label mondialement connu. Dans cette histoire, il faut démêler l'écheveau tant qu'un black out persiste sur les véritables causes et motivations de ces incendies.Depuis le début de l'été, pas une usine ou un champ de blé ou alors un immeuble abritant une administration n'a été épargné par les incendies. Il faut signaler que des usines de production font le lot d'incendies depuis le début de l'été.Celles de Condor à Bordj Bou Arreridj et de Samsung à Alger ont vu leurs dépôts de stocks complètement calcinés par le feu. Un dépôt de plastique situé à El Hamiz a également été détruit par le feu en pleine journée. Une petite entreprise de stockage de matériel informatique à l'ouest du pays a fait également les frais d'un incendie qui a laissé tous les lots en fumée.Même les sièges de certaines administrations n'ont pas été épargnés par les accidents où les feu se propage à une vitesse vertigineuse sans compter le dernier incendie feu qui a touché un porte-conteneurs à Annaba épargnant tout l'équipage qui se trouvait à bord.Il faut dire que la situation de ces actes volontaires ou involontaires commence à inquiéter au plus haut. Ces drames qui surviennent ne peuvent pas être des faits isolés ou de simples accidents causés par l'effet de la chaleur. Au point où l'on en est, il y a d'abord un véritable bilan à faire par les services concernés.Ces incendies qui font perdre à ces entreprises des milliards de dinars se répercutent par des incidences négatives sur leur trésorerie mais aussi sur l'apport qu'elles constituent pour les impôts qu'elles paient à l'Etat. En outre, les dégâts occasionnés peuvent mettre longtemps pour faire redémarrer ces unités de production qui emploient des milliers d'Algériens.Jusque-là, les enquêtes préliminaires sur ces incendies concluent précipitamment à des courts-circuits comme première cause ou parfois sur une faille dans le système de refroidissement. Or, tout indique que ces enquêtes menées par les services de sécurité ne doivent pas être hâtives et partiales.L'on sait que l'opinion publique n'est pas convaincue par ces actes répétitifs qui surviennent chaque été dans des lieux sensibles et qui visent des marques ayant choisi l'Algérie comme marché d'investissement. Les spéculations les plus folles alimentent ces faits qui ne passent pas inaperçus.Certains pointent du doigt les réseaux de l'informel qui sont derrière ces incendies provoqués afin de porter un coup aux engagements pris par l'Etat concernant le tissu productif. Cette thèse est davantage nourrie par le fait que l'Etat soit engagé contre les cartels du marché noir et les réseaux de trafiquants de toutes sortes qui se sentent gênés par les dernières mesures prises pour assainir l'économie nationale.D'autres n'y voient au contraire que ces dépôts ou usines accusent une faille dans leur système de contrôle et de surveillance des incendies. Mais pour l'heure, les représentants de ces sociétés n'ont aucunement indiqué qu'il s'agit d'une négligence humaine ou d'une baisse de vigilance sur le plan technique.C'est une hypothèse qui semble être écartée du moment que la plupart de ces entreprises doivent obligatoirement être équipées d'un système d'alarme et d'outils anti-incendies des plus performants. Surtout lorsqu'il s'agit d'une représentation d'une multinationale ou d'un label mondialement connu. Dans cette histoire, il faut démêler l'écheveau tant qu'un black out persiste sur les véritables causes et motivations de ces incendies.


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