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7 longues années d'attente


La colère des souscripteurs AADL 2 est à son paroxysme. Ils comptent investir de nouveau la rue pour protester contre le retard accusé pour la remise de leur logement. 7 ans à attendre des appartements payés sans pouvoir les habiter.La colère des souscripteurs AADL 2 est à son paroxysme. Ils comptent investir de nouveau la rue pour protester contre le retard accusé pour la remise de leur logement. 7 ans à attendre des appartements payés sans pouvoir les habiter.
Les souscripteurs ne comptent plus lâcher prise. Après ces longues années d'attente, ils ne veulent plus écouter de promesses. Dans un communiqué rendupublic à l'occasion de leur réunion devant le siège de l'AADL, il est indiqué que "lerassemblement des souscripteurs sera au rendez-vous chaque samedi pour protester contre le retard", ajoutant que "la politique de deux poids deux mesures et la bureaucratie ont rendu le dialogue impossible avec ceux qui sont chargés de résoudre ce problème". Les souscripteurs, qui se sont organisés dès 2019 à travers un comité national, restent fermes en revendiquant leurs logements à travers plusieurs sit-in de protestations. "Nous avons déposé des recours à maintes reprises et cela reste sans espoir car l'administration ne veut plus nous écouter". Dans les faits, cela se traduit par des multiples correspondances entre ces derniers et les directions du logement. Mais à chaque fois, c'est la même réponse sans issue, martèlent-ils. "Nous voulons connaitre les suites réséervées à nos dossiers, nous avons payé toutes les tranches et nous sommes en règle vis-à-vis des engagements pris avec les autorités", soulignent-ils dans le communiqué. Les souscripteurs déplorent le fait que "leurs dossiers n'aient pas été ouverts par l'agence".
Avec leurs nombreux recours tout le long de l'année 2020, les postulants à l'AADL 2 désespèrent de se faire entendre. Ils demandent "la levée du gel sur certains documents dont les fiches de paie de 2013" estimant que ces "dernières ne sont pas valables du fait que certains ont eu des augmentations de salaires après cette période". L'autre point sur lequel ils insistent est celui de "l'exclusion de certains demandeurs qui faute de logements neufs ont dû restaurer leurs anciennes propriétés". Ces derniers sont à jour en ce qui concerne le paiement des dus et ne devraient pas être radiés des listes des futurs acquéreurs. Si la réponse définitive n'est pas donnée dans les prochains jours comme cela a été le cas pour les 55.000 propriétaires de l'AAADL 2001, la tension risque de s'exacerber entre les deux parties, Il faut juste espérer que ce dossier soit rapidement finalisé par la tutelle
Les souscripteurs ne comptent plus lâcher prise. Après ces longues années d'attente, ils ne veulent plus écouter de promesses. Dans un communiqué rendupublic à l'occasion de leur réunion devant le siège de l'AADL, il est indiqué que "lerassemblement des souscripteurs sera au rendez-vous chaque samedi pour protester contre le retard", ajoutant que "la politique de deux poids deux mesures et la bureaucratie ont rendu le dialogue impossible avec ceux qui sont chargés de résoudre ce problème". Les souscripteurs, qui se sont organisés dès 2019 à travers un comité national, restent fermes en revendiquant leurs logements à travers plusieurs sit-in de protestations. "Nous avons déposé des recours à maintes reprises et cela reste sans espoir car l'administration ne veut plus nous écouter". Dans les faits, cela se traduit par des multiples correspondances entre ces derniers et les directions du logement. Mais à chaque fois, c'est la même réponse sans issue, martèlent-ils. "Nous voulons connaitre les suites réséervées à nos dossiers, nous avons payé toutes les tranches et nous sommes en règle vis-à-vis des engagements pris avec les autorités", soulignent-ils dans le communiqué. Les souscripteurs déplorent le fait que "leurs dossiers n'aient pas été ouverts par l'agence".
Avec leurs nombreux recours tout le long de l'année 2020, les postulants à l'AADL 2 désespèrent de se faire entendre. Ils demandent "la levée du gel sur certains documents dont les fiches de paie de 2013" estimant que ces "dernières ne sont pas valables du fait que certains ont eu des augmentations de salaires après cette période". L'autre point sur lequel ils insistent est celui de "l'exclusion de certains demandeurs qui faute de logements neufs ont dû restaurer leurs anciennes propriétés". Ces derniers sont à jour en ce qui concerne le paiement des dus et ne devraient pas être radiés des listes des futurs acquéreurs. Si la réponse définitive n'est pas donnée dans les prochains jours comme cela a été le cas pour les 55.000 propriétaires de l'AAADL 2001, la tension risque de s'exacerber entre les deux parties, Il faut juste espérer que ce dossier soit rapidement finalisé par la tutelle


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