Algérie - A la une

5 Casques bleus burkinabés tués dans le nord du Mali



5 Casques bleus burkinabés tués dans le nord du Mali
La Minusma, dont le mandat a été prolongé d'un an, le 29 juin, par le Conseil de sécurité, est son opération de maintien de la paix la plus coûteuse en vies humaines.La Minusma, dont le mandat a été prolongé d'un an, le 29 juin, par le Conseil de sécurité, est son opération de maintien de la paix la plus coûteuse en vies humaines.Cinq casques bleus burkinabés ont été tués, jeudi 2 juillet, dans une attaque dans la région de Tombouctou, dans le nord-ouest du Mali, a-t-on appris de sources de sécurité au sein de la mission de l'Onu au Mali (Minusma). Neuf autres soldats burkinabés ont également été blessés, a indiqué une autre source de sécurité à la Minusma. "Les terroristes étaient apparemment bien informés sur le passage de notre convoi. Ils ont donc attaqué le convoi. C'est terrible", a affirmé la même source, sans pouvoir préciser dans l'immédiat la nature de l'attaque.Le 28 mai, un attentat à l'explosif, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), contre un convoi dans lequel se trouvaient les chefs des militaires et des policiers de la Minusma, avait déjà, selon cette dernière, fait trois morts parmi les casques bleus, et non trois blessés comme l'avait annoncé la force de l'Onu.L'Onu a perdu 35 militaires depuis son déploiement au Mali Outre un casque bleu bangladais tué par balles le 25 mai près de l'aéroport de Bamako dans des circonstances encore non élucidées, la force de l'Onu a perdu 35 militaires dans des attaques (attentats-suicides, mines, embuscades, tirs de mortier et roquettes) depuis son déploiement au Mali en juillet 2013.Selon l'Onu, la Minusma, dont le mandat a été prolongé d'un an, le 29 juin, par le Conseil de sécurité, est son opération de maintien de la paix la plus coûteuse en vies humaines, depuis la Somalie dans les années 1990. Bien que les djihadistes aient été dispersés et en grande partie chassés de cette région à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale, des zones entières échappent encore au contrôle des autorités maliennes comme des forces étrangères.Cinq casques bleus burkinabés ont été tués, jeudi 2 juillet, dans une attaque dans la région de Tombouctou, dans le nord-ouest du Mali, a-t-on appris de sources de sécurité au sein de la mission de l'Onu au Mali (Minusma). Neuf autres soldats burkinabés ont également été blessés, a indiqué une autre source de sécurité à la Minusma. "Les terroristes étaient apparemment bien informés sur le passage de notre convoi. Ils ont donc attaqué le convoi. C'est terrible", a affirmé la même source, sans pouvoir préciser dans l'immédiat la nature de l'attaque.Le 28 mai, un attentat à l'explosif, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), contre un convoi dans lequel se trouvaient les chefs des militaires et des policiers de la Minusma, avait déjà, selon cette dernière, fait trois morts parmi les casques bleus, et non trois blessés comme l'avait annoncé la force de l'Onu.L'Onu a perdu 35 militaires depuis son déploiement au Mali Outre un casque bleu bangladais tué par balles le 25 mai près de l'aéroport de Bamako dans des circonstances encore non élucidées, la force de l'Onu a perdu 35 militaires dans des attaques (attentats-suicides, mines, embuscades, tirs de mortier et roquettes) depuis son déploiement au Mali en juillet 2013.Selon l'Onu, la Minusma, dont le mandat a été prolongé d'un an, le 29 juin, par le Conseil de sécurité, est son opération de maintien de la paix la plus coûteuse en vies humaines, depuis la Somalie dans les années 1990. Bien que les djihadistes aient été dispersés et en grande partie chassés de cette région à la suite du lancement en janvier 2013, à l'initiative de la France, d'une intervention militaire internationale, des zones entières échappent encore au contrôle des autorités maliennes comme des forces étrangères.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)