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- Baraki : réception de trois nouvelles écoles primairesAfin de faire face au nombre croissant d'élèves inscrits au primaire, la commune de Baraki réceptionnera cette année 3 nouveaux établissements. Selon M. Zouitene, vice-président de l'APC de Baraki, deux écoles sont implantées dans le quartier de Bentalha. «Notre capacité d'accueil a augmenté de 24 classes dans cette localité à forte densité.La première est au quartier 1078 logements et la deuxième à la cité LSP 02. Cette dernière nous a coûté 63 millions de dinars. Nous allons réceptionner encore une autre école d'une capacité de 12 classes située au centre-ville. Sa réalisation a nécessité 67 millions de dinars. Le taux d'avancement des travaux est de 97% environ. Il ne reste que le mur de clôture et l'entreprise accélère le rythme afin que tout soit prêt le 13 septembre prochain», explique notre interlocuteur.«En marge de ces trois projets, les 18 écoles déjà existantes ont fait l'objet d'une remise en état. Quatre d'entre elles sont prêtes et les 14 autres le sont presque. Les travaux initiés sont relatifs, entre autres, à la peinture, le renforcement de l'étanchéité ainsi que la révision du système de chauffage. En plus, nous avons 4 projets d'extension : l'école Saïd Doukani, qui bénéficiera de 6 nouvelles classes. Aux cités 18 Février et 11 Décembre, les quatre écoles primaires seront démolies graduellement afin de les reconstruire en dur. En collaboration avec le wali délégué de Baraki, nous veillerons ensemble à la réception à temps de tous ces projets en cours», conclut-il.- Rouiba : l'accès à l'école Drif Mohamed libéréLe cauchemar est fini pour les élèves de l'école Drif Mohamed dans la commune de Rouiba. Les petits écoliers pourront cette année accéder à leur établissement sans avoir à passer entre les étalages de fortune du grand marché informel qui longeaient toute cette zone. «C'était un vrai calvaire, s'exclame Bahia, mère de trois enfants dont deux sont scolarisée à l'école Drif Mohamed. Nous avions toujours peur pour nos petits, surtout que dans ce grand souk illicite, on vendait de tout, y compris des objets très nocifs pour des enfants en bas âge».Une autre enseignante n'a pas caché sa joie de voir ce marché complètement éradiqué. «La situation n'était pas difficile juste pour les élèves. Je vous assure qu'il nous était presque impossible d'accéder à l'école. Les risques très élevés d'agression faisaient régner une atmosphère d'insécurité sur les lieux. Vraiment une initiative très louable à généraliser», dit-elle.