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- Stade Mohamed Iguer (BMR) : une entreprise engagéeL'APC de Bir Mourad Raïs a retenu une société pour entamer des travaux d'aménagement du stade Mohamed Iguer, affirme le président de l'APC, Zikem Mohamed. Il reste à signer l'ODS (Ordre de service), précise l'élu. Des travaux de réaménagement du stade avaient été programmés par l'ancienne APC, mais un conflit avec le bureau a retardé le projet de plusieurs années.Dans un précédent entretien, le P/APC actuel a affirmé que l'ancienne équipe municipale avait signé, il y a dix ans, un contrat avec un bureau d'études pour l'étude et le suivi du projet d'aménagement du stade, pour un montant de presque deux milliards. «La logique voudrait que l'équipe municipale lui demande tout simplement de revoir cette esquisse qui n'est qu'un avant-projet. Le maire a choisi la manière forte en engageant une action en justice. L'élu a décidé de résilier le marché d'une manière unilatérale.Ce qu'il semble ignorer, c'est que le BET a eu son attribution provisoire et que personne n'a contesté», assure M. Zikem. Il signale : «Pour ne pas dilapider l'argent public, comme m'accusent mes détracteurs, et pour ne pas laisser les jeunes otages de cet imbroglio judiciaire qui persiste, je suis allé voir le directeur de la DJSL qui a consenti à mettre à ma disposition un bureau d'études. Ces jours-ci, nous entamerons les procédures légales.»- Fort Turc (Bordj El Kiffan) : Entreprise de restauration installée 'Le Fort turc, situé au-lieudit Bateau-Cassé, dans la commune de Bordj El Kiffan, est à l'abandon. Une source à la Direction de la culture affirme pourtant que des travaux y ont été engagés. Selon un employé de cette direction, des travaux d'urgence ont été achevés et une société est déjà sur place pour entreprendre les travaux de restauration. Mais rien n'est visible. La direction semble s'être contentée d'installer des barricades pour éviter toute intrusion. Les élus de l'APW se sont étonnés lors d'une visite sur les plages de l'Algérois de l'état d'abandon dans lequel se trouve le site. Bâti au XVIIe siècle pour surveiller les intrusions étrangères dans la baie d'Alger, le fort a énormément souffert de squat.