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"200 terroristes algériens ont rejoint la Syrie"





L'Algérien a vaincu le terrorisme et d'ailleurs sa sécurité nationale n'est plus sous la menace de ce phénomène transnational. C'est ce que soutient Kamal Rezzag Bara, conseiller à la présidence de la République, en préconisant toutefois la nécessité de demeurer constamment vigilant.L'Algérien a vaincu le terrorisme et d'ailleurs sa sécurité nationale n'est plus sous la menace de ce phénomène transnational. C'est ce que soutient Kamal Rezzag Bara, conseiller à la présidence de la République, en préconisant toutefois la nécessité de demeurer constamment vigilant.Dans un long entretien accordé au journal électronique TSA, Rezag Bara est bien sur revenu sur les derniers attentats qui ont notamment secoué Paris, mais aussi Bamako. Il a aussi évoqué la menace de Daesch en plaidant fortement pour le développement de la coopération internationale afin de venir à bout de la menace terroriste."L'Algérie est à l'abri d'une menace terroriste qui pourrait remettre en cause sa sécurité nationale. Il n'y a plus de forme de terrorisme qui soit en mesure de menacer l'Algérie dans sa sécurité nationale et dans la stabilité de ses institutions démocratiques. Mais le terrorisme continue à être une menace sérieuse pour l'ordre public et la sécurité des personnes et des biens.Donc, on doit être vigilants et continuer à adapter nos moyens de réponse sur les plans militaire, sécuritaire, policier..." dira, rassurant, Rezag Bara, en appelant à maintenir constamment la vigilance et la prudence. Car pour lui "aucun pays n'est à l'abri. La menace est transnationale. C'est pour cette raison qu'il faut maintenir le niveau de vigilance au plus haut en termes d'anticipation, de prévention et de réponse à une quelconque action qui peut se passer".Comme preuve du grand recul du terrorisme en Algérien, le conseiller à la présidence a révélé l'existence de moins d'une dizaine de groupuscules épars dans deux ou trois régions du pays. Des groupuscules qui sont, cela dit, soutient encore Rezag Bara, "complètement isolés et qui font l'objet d'une traque perpétuelle.En général, ils sont dans les zones montagneuses et à la périphérie de certains centres urbains". Refusant par conséquent d'amplifier la menace de Daesch en Algérie, il dira que l'allégeance à ce groupe terroriste "reste très limitée chez nous" par rapport à d'autres pays. "En fait, l'époque de l'allégeance des groupes terroristes algériens à une centrale terroriste internationale me semble révolue".Il a, dans ce même contexte, annoncé que, "nous savons que près de 200 Algériens ont rejoint la Syrie dont une centaine serait impliquée dans les actions armées et les autres dans les activités périphériques de soutien". Et de révéler encore que "nous avons également la confirmation qu'à peu près une cinquantaine d'entre eux ont été tués".Sur la menace que pourrait constituer ces terroristes dés leur retour au pays Rezag Bara dira que les services de sécurité ont accentué "la surveillance électronique des personnes susceptibles d'utiliser Internet pour communiquer avec ces groupes terroristes". Plus précis il a ajouté que "les mesures d'anticipation, de contrôle et de surveillance sont à un niveau de vigilance qui rend très difficile une telle éventualité. Mais le risque zéro n'existe pas". Il a aussi rendu hommage à la jeunesse algérienne qui est loin d'être sensible à l'appel des groupes terroristes.Rezag Bara, qui a aussi rappelé l'époque où l'Algérien faisait face seule au terrorisme, n'a pas voulu s'étaler sur le renforcement constaté des mesures de sécurité après les récents attentats de Paris. "Il y a une adaptation constante des mesures prises selon l'évolution de la situation intérieure, régionale et internationale" s'est-il juste contenté de dire. Enfin, plaidant pour l'approche algérienne en Libye il a réfuté le chiffre de 4.000 à 6.000 terroristes de Daech se trouvant dans ce pays.Dans un long entretien accordé au journal électronique TSA, Rezag Bara est bien sur revenu sur les derniers attentats qui ont notamment secoué Paris, mais aussi Bamako. Il a aussi évoqué la menace de Daesch en plaidant fortement pour le développement de la coopération internationale afin de venir à bout de la menace terroriste."L'Algérie est à l'abri d'une menace terroriste qui pourrait remettre en cause sa sécurité nationale. Il n'y a plus de forme de terrorisme qui soit en mesure de menacer l'Algérie dans sa sécurité nationale et dans la stabilité de ses institutions démocratiques. Mais le terrorisme continue à être une menace sérieuse pour l'ordre public et la sécurité des personnes et des biens.Donc, on doit être vigilants et continuer à adapter nos moyens de réponse sur les plans militaire, sécuritaire, policier..." dira, rassurant, Rezag Bara, en appelant à maintenir constamment la vigilance et la prudence. Car pour lui "aucun pays n'est à l'abri. La menace est transnationale. C'est pour cette raison qu'il faut maintenir le niveau de vigilance au plus haut en termes d'anticipation, de prévention et de réponse à une quelconque action qui peut se passer".Comme preuve du grand recul du terrorisme en Algérien, le conseiller à la présidence a révélé l'existence de moins d'une dizaine de groupuscules épars dans deux ou trois régions du pays. Des groupuscules qui sont, cela dit, soutient encore Rezag Bara, "complètement isolés et qui font l'objet d'une traque perpétuelle.En général, ils sont dans les zones montagneuses et à la périphérie de certains centres urbains". Refusant par conséquent d'amplifier la menace de Daesch en Algérie, il dira que l'allégeance à ce groupe terroriste "reste très limitée chez nous" par rapport à d'autres pays. "En fait, l'époque de l'allégeance des groupes terroristes algériens à une centrale terroriste internationale me semble révolue".Il a, dans ce même contexte, annoncé que, "nous savons que près de 200 Algériens ont rejoint la Syrie dont une centaine serait impliquée dans les actions armées et les autres dans les activités périphériques de soutien". Et de révéler encore que "nous avons également la confirmation qu'à peu près une cinquantaine d'entre eux ont été tués".Sur la menace que pourrait constituer ces terroristes dés leur retour au pays Rezag Bara dira que les services de sécurité ont accentué "la surveillance électronique des personnes susceptibles d'utiliser Internet pour communiquer avec ces groupes terroristes". Plus précis il a ajouté que "les mesures d'anticipation, de contrôle et de surveillance sont à un niveau de vigilance qui rend très difficile une telle éventualité. Mais le risque zéro n'existe pas". Il a aussi rendu hommage à la jeunesse algérienne qui est loin d'être sensible à l'appel des groupes terroristes.Rezag Bara, qui a aussi rappelé l'époque où l'Algérien faisait face seule au terrorisme, n'a pas voulu s'étaler sur le renforcement constaté des mesures de sécurité après les récents attentats de Paris. "Il y a une adaptation constante des mesures prises selon l'évolution de la situation intérieure, régionale et internationale" s'est-il juste contenté de dire. Enfin, plaidant pour l'approche algérienne en Libye il a réfuté le chiffre de 4.000 à 6.000 terroristes de Daech se trouvant dans ce pays.




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