Dans une pétition, dont une copie est en notre possession, ils revendiquent une révision totale de leur statut actuel. «Nous sommes lésés dans nos droits, dont celui fondamental, à savoir la reconnaissance du diplôme de fin d'études comme équivalent du baccalauréat qui devrait nous permettre de poursuivre notre cursus à l'école supérieure des beaux-arts d'Alger, car en l'état actuel des choses, il ne nous ouvre aucun débouché», expliquent-ils.
«Le diplôme actuel, qui nous est délivré après quatre ans d'études, trois en tronc commun et un en spécialité, n'a aucune valeur. Il n'est pas reconnu», déplorent-ils. Ils demandent également l'instauration de l'internat dans cette école, dont les trois quarts des étudiants ne sont pas de Constantine, en plus d'un programme ministériel officiel spécialement conçu pour eux. «Nous parlons juste du minimum, car nous pâtissons depuis longtemps d'une marginalisation qui ne dit pas son nom, dans un domaine qui devrait susciter plus de considération de la part du ministère de la Culture », martèlent-ils.                                                          Â
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté par : sofiane
Ecrit par : Farida Hamadou
Source : www.elwatan.com