Alger - PERSONNAGES

L'atelier de Mohamed Racim à la Casbah en décripitude



L'atelier de Mohamed Racim à la Casbah en décripitude
L'Algérie a déposé le couscous et la musique rai à l'Unesco comme patrimoine immatériel de l'humanité. Mais, 45 années après son imprévisible décès, vous remarquerez que l'atelier à la Casbah de Mohamed Racim, le père de la miniature algérienne est délaissé et fermé comme n'importe quel gourbi d'indigène de l'époque coloniale. C'est bien d'avoir le nationalisme à fleur de peau et une nouvelle mosquée avec un minaret plus grand que les tours de New York, mais si on traite de la sorte ses génies créateurs, on comprend pourquoi la Casbah est fermée aux touristes: japonais, allemands, suédois, coréens, sénégalais, américains, argentins, français, tunisiens, marocains, sud-africains, polonais, belges, ivoiriens, libanais, irlandais, anglais..... Vous remarquerez sur Wikipedia cette phrase à propos du maître Racim: "De son vivant, l'Algérie possédait la première place dans le monde de l'art miniatural. La célébrité du maître était telle dans ce domaine qu'il faillit émigrer en Inde où sa présence était réclamée.".


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