Les citoyens reconnaissent que ces employés accomplissent sérieusement leurs tâches se résumant en des travaux de nettoiement, d'entretien de voirie. Or, il s'avère que la majorité de ces personnes sont des chefs de familles qui ont été insérés dans des dispositifs depuis plus de huit années. Certains P/APC avaient promis de les titulariser dès l'arrivée des postes budgétaires. Malheureusement, ce n'était qu'une vaine promesse. Ces personnes ont réclamé, à maintes fois, l'augmentation de l'allocation ou la permanisation. Contacté, le directeur des Affaires Sociales de la wilaya a précisé: «La DAS a dégagé un budget de 24 milliards de centimes en 2010 pour la prise en charge totale de ces 5.000 affiliés à l'IAIG. Nous avons proposé d'octroyer un salaire égal au salaire minimal garanti aux stagiaires qui ont réellement travaillé plus de huit années consécutives. Certains P/APC ont commis des erreurs pour ne pas avoir appliqué rigoureusement les textes de ce dispositif. Le problème que soulèvent ces travailleurs est surtout le refus du directeur de la CNR de Aïn Témouchent de les intégrer dans le fichier des retraités, car, dit-il, cette catégorie n'ouvre pas droit à la retraite».                                                       Â
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Posté par : sofiane
Ecrit par : O. Salem
Source : www.elwatan.com